Kim Hae-il est un prêtre énervé, qui joue volontiers des poings pour défendre la veuve et l’orphelin. Comme il a encore une fois débordé, il est envoyé dans un autre diocèse pour se mettre au vert. Il y retrouve son mentor, le père Lee Young-joon. Très vite il s’aperçoit que le quartier est géré par un groupe de mafieux. Quand le père Lee Young-joon est assassiné mais que la police ne prend pas la chose au sérieux, pire encore, la mémoire du curé est salie, le père Kim Hae-il voit rouge et entre en scène pour démasquer les vilains.
Mes remarques, avec spoilers:
J’ai adoré cette première saison, pleine d’action et de scènes de combat, un curé décalé, des équipes géniales autour de lui, un scénario qui met le sourire.
Un curé pas piqué des vers
Il a un sacré caractère, le Père Kim Hae-il! Pour l’essentiel, il est râleur, colérique, malpoli. Il s’emporte en deux secondes, et joue des poings dès qu’il a dépassé sa zone de tolérance. Et c’est drôle. Son comportement et son vocabulaire peu compatibles avec sa fonction font de lui un personnage aux réactions inattendues et décalées, d’autant plus lorsqu’il est à côté du gentil jeune prêtre ou des sœurs aux voix fluettes. Une bonne partie du plaisir de ce drama repose sur le décalage entre ce qui est attendu d’un curé et les attitudes du Père Kim.
Beaucoup d’humour
On rit ou sourit à de nombreux moments. Sans être dans le franchement burlesque, le drama ne se prend pas au sérieux et offre des scènes singulières ou exagérées qui tirent les commissures des lèvres vers le haut. Pour ceux qui sont peu habitués à l’humour coréen, certaines exagérations, certains bruitages ou ajouts colorés pourront sembler étranges, mais vous vous y ferez.
A en croire les dramas, tous les anciens espions auraient une cachette à super attirail. Le curé de The fiery priest ne fait bien entendu pas exception à cette loi des dramas, et à un moment donné, il va ouvrir son super-container pour en exhumer ses super-objets qui vont le rendre super-méga-cool. Pour l’occasion, le curé troque ses vêtements d’ecclésiastique pour un sweat à capuche et une moto. Visuellement, son grand manteau déchire tout. Sa coiffure sur les derniers épisodes lui donne un air de badboy qui lui va aussi à ravir.
Outre les personnages principaux qui sont tous géniaux, tous les groupes qui gravitent autour sont extra, que ce soit les différents gentils ou les méchants. Le Russe interprété par Kim Won-hae est forcément réussi. Le temps partiel qui regarde les étoiles et le tigre Thaïlandais qui défend son roi sont de grands gentils. Le jeune prêtre est tout choupinou et ses déguisements sont au top. Les mafieux et autres malfaisants ont aussi beaucoup de prestance. On pense notamment au personnage de Hwang Cheol-bum, qui s’étoffe pour le mieux avec l’avancée de l’histoire, et ne reste pas coincé au niveau du chienchien à son maître. Le mafieux à la veste rouge, au rouge à lèvres et à la coupe au carré, adepte de la capoeira, est aussi un personnage que j’ai adoré.
Images SBS
Les femmes
Elles sont peu nombreuses, mais plutôt marquantes. La procureure à la grande bouche, au sens propre comme au figuré, a un sacré tempérament. Elle est corrompue et agit mal, mais on ne peut dès le début pas s’empêcher de l’apprécier. Et plus le drama avance, plus on adore son punch. La policière hip-hop girl est toute mignonne, avec de super aptitudes au combat. On adore aussi!
La culpabilité, le pardon, la bienveillance, autant de thèmes abordés en fond du drama. De nombreuses leçons de vie et de bienveillance sont distillées au cours des épisodes. Le scénario est vraiment très bon. L’évolution des relations interpersonnelles et la création des liens affectifs entre les personnages sont des points majeurs dans la toile qui entoure le déroulé de l’histoire, et lui donnent toute sa force.
Si The fiery priest nous offre une deuxième saison, il faut croiser les doigts très fort pour que le nouveau scénario soit tout aussi réussi.
SBS
Acteurs
Kim Hae-il/Mickaël (le prêtre): Kim Nam-gil 김남길 Goo Dae-young (le détective): Kim Sung-kyun 김성균 Park Kyung-sun (la procureure): Lee Hanee 이하늬 Hwang Cheol-bum (le mafieux): Go Jun 고준 Seo Seung-ah (la lieutenant): Keum Sae-rok 금새록 Lee Young-joon (le vieux prêtre): Jung Dong-hwan 정동환 Han Sung-kyu (le jeune prêtre): Jeon Sung-woo 전성우 Vladimir Gojayev (le Russe): Kim Won-hae 김원해
Scénario: Park Jae-bum 박재범 Réalisation: Lee Myung-woo 이명우
C’est dans Strong girl Do Bong-soon (2017) que je l’ai vue pour la première fois, en femme à la force supérieure qui poursuit un tueur en série. C’est un drama un peu excentrique, à la fois romantique, policier, et drôle.
| JTBC
Oh my ghost
Dans Oh my ghost (2015), Park Bo-young joue un personnage d’une timidité maladive, ce qui lui cause bien des ennuis professionnels, et surtout l’exaspération de son chef. Quand une fantôme prend possession de son corps, elle change d’attitude, et accessoirement se fait poursuivre par le tueur de celle-ci.
| TvN
Abyss
Dans Abyss (2019), c’est elle qui est encore aux trousses d’un tueur en série, à moins que ce ne soit l’inverse. Elle partage l’affiche de ce drama avec Ahn Hyo-seop.
Dans ce film dystopique de 2023 콘크리트 유토피아, Park Bo-young est mariée à Park Seo-jun, et ils tentent de survivre dans un Séoul post-tremblement de terre.
|Concrete utopia
Daily dose of sunshine
La gentille infirmière Jung Da-eun a un coeur pour tous ses patients de psychiatrie.
|07/11/2023-Weverse|weverse – 13/08/2023 – Park Bo-young mange un glace et lit des lettes de fans, avec son doudou hippo.|Weverse – 14/02/2023 à l’occasion de la Saint-Valentin
Vlive
[Le service Vlive a fermé en décembre 2022. L’actrice est passée sur Weverse.]
| Vlive – 21/05/2022 – Apparemment, elle aime manger une glace en vlive.| Vlive – 03/03/2022 – Une glace en guest star.|Vlive du 02/09/2021| Vlive du 13/06/2021
OST
Plutôt discrète sur les réseaux sociaux, on peut l’entendre chanter sur des OST.
Oh My Ghost OST Part 3 박보영 (Park Bo-young) – 떠난다 (Leave) 2015
Park Boyeong (박보영) Listen to me.- On your wedding day OST Part 1) – 2018
[늑대소년 OST] 박보영 (Park Bo Young) – 나의 왕자님 (My Prince)
Victime d’un esprit maléfique, le roi devient fou et est éliminé par son entourage. 12 ans plus tard, son fils le prince Wolgwang a été écarté du trône et vit comme un parasite inutile qui ne se préoccupe de rien d’autre que de son nombril. Et surtout, il ne veut pas que l’on sache qu’il peut voir les esprits. Si lui veut qu’on lui fiche la paix, il n’en va pas de même pour tout le monde: le roi se défie de lui car il a peur qui veuille le trône, la fille du ministre Park veut absolument l’épouser, le ministre Park manigance dans son coin. Dans ses montagnes, Do-ha est décidée à retrouver sa sœur la chamane, qui a été enlevée par un clan adverse suite aux événements survenus 12 ans plus tôt. Elle se rend à la capitale.
Mes remarques, avec spoilers
Un sageuk fantastique divertissant qui nous offre des combats en robe et de méchants esprits à combattre.
Des débuts un peu poussifs
Au début, ce n’était pas gagné. 2 épisodes 1/2 pour nous raconter la jeunesse des protagonistes et leurs malheurs, ce fut trop long pour moi, et j’ai failli renoncer en cours de route. 1 épisode aurait été largement suffisant. Heureusement, après cela on rentre dans le réel de l’histoire, et c’est beaucoup mieux! J’ai mangé les autres épisodes sans problème.
Images Netflix
La naïve qui descend de sa montagne
Habillée en Pocahontas, la naïve Do-ha découvre la ville. Heureusement, à un moment donné, elle découvre aussi le pantalon. Do-ha a un côté blanche colombe qui fait son charme, mais aussi sa faiblesse. Sa gentillesse n’est pas feinte, elle aime tout le monde et est prête à tendre la main à tous ceux qui sont en détresse. Pour preuve quand elle a pitié de la fille du ministre (plusieurs fois, nom d’une quiche!). C’est aussi le point négatif du personnage, parfois un peu trop lisse. On a la même impression qu’elle, quand elle se désole de ne servir à rien dans le groupe. On la préfère largement quand elle donne des coups de fouet!
Il est mignon et gentil le prince Wolgwang. Quand il accepte son don avec les esprits, il passe de faible inutile à gars déterminé à protéger le peuple. D’ailleurs il devient super fort avec une épée en un rien de temps, sans s’entraîner dites donc! Son manque d’ambition concernant le trône est étonnant. Non seulement pas un instant il ne le convoite pour lui, mais en plus il n’envisage même pas de l’enlever au taré qui siège dessus. Avec l’évolution de ses relations à la chamane, il a petit à petit un sourire facétieux et tendre quand il la regarde, c’est mignon. Que la fille du ministre ait des sentiments pour lui le laisse complètement indifférent, pas une seule seconde il n’a d’inclinaison vers elle. Il ne lui témoigne qu’un respect dicté avant tout par la politesse.
Jung Yun-ho nous offre une interprétation au top du garde psychorigide Kang Moo-seok et en fait un personnage qui a de la gueule. Il ne le cantonne pas au rôle d’aide du prince, il en fait une figure puissante qui prend vie et transperce l’écran. Il a une vraie et forte présence. J’adore son jeu! Son personnage soumis à son roi – pourquoi pas, c’est un choix – agace tout de même un peu face à son obstination. Au-delà du fait que le roi ait de manière indubitable complètement craqué du cerveau, et même après que ce couard l’ait trahi et fait assassiner, Kang Moo-seok retourne plier le genou devant lui et lui offrir ses services, quitte à mourir encore. Garçon, mon conseil, à un moment, il faut accepter de renoncer, hein…
Images MBC
Les rois
Le premier roi nous offre des scènes de folie bien jouées. Le jeu du second roi fou est plus difficile à apprécier. Sa transformation en gentil apaisé, zen et détaché tout à la fin… non mais sérieux? Cette manie des scénarios de filer la rédemption presque à tout le monde au dernier épisode, ah, j’avoue avoir du mal à adhérer.
Images Netflix
La magie et le dragon maléfique
Les effets spéciaux avec le dragon sont plutôt chouettes, j’ai notamment aimé son ascension de la tour. L’immortel Sadam a la faiblesse d’essayer de manipuler des humains. Mais c’est une espèce imprévisible, il devrait savoir que tout ne va pas aller comme il l’entend.
Oublions vite fait la mini-vague du forgeron. Des intrigues de palais, soutenues par un méchant magicien, des costumes d’époques, quelques combats, un prince romantique, secouez et Diary of a night watchman sera un drama divertissant.
Rin/Wolgwang (le prince): Jung Il-woo 정일우 Do-ha : Ko Sung-hee 고성희 Kang Moo-seok (le garde): Jung Yun-ho 정윤호 Park Soo-ryeon (la fille du ministre): Seo Ye-ji 서예지 Gi-san: Kim Heung-soo 김흥수 Sadam: Kim Sung-oh 김성오
Choi Dae-ho est un journaliste qui publie des articles qui ne plaisent pas à tout le monde. Lorsque son fils est enlevé, sans qu’il n’y ait aucune demande de rançon, il fait comme un fou pour essayer de trouver qui a pu vouloir se venger. 3 ans plus tard, l’enquête officielle est au point mort, et Choi Dae-ho n’a plus aucune piste à suivre. C’est là qu’il entend parler des Lucid dream, des rêves éveillés qui permettent d’explorer sa mémoire.
Mes remarques, avec spoilers
Une approche par les rêves
L’idée de départ sur les Lucid dream est plutôt intéressante. Au travers de ses rêves, qui sont plutôt des souvenirs, mais d’une précision étonnante, le journaliste peut mener une enquête sur ce qui s’est passé le jour de l’enlèvement. En allant explorer la mémoire d’autres témoins, il peut dérouler la pelote pour mener l’enquête et retrouver son fils.
Un film policier
Toute la partie enquête policière est plutôt intéressante. On joue à la marelle sur les indices, pour remonter petit à petit, en enchaînant les pistes en cul de sac. On finit sur un suspect inattendu. Par contre je ne comprends pas bien la course effrénée contre la montre, l’urgence qui se fait soudain, alors que l’enfant a disparu depuis 3 ans. On n’est pas à 1 heure près pour le retrouver, si?
Poster – Go Soo 고수
Un début lent
On peut dire que ça ne démarre pas sur les chapeaux de roues. On pouvait plier en quelques minutes, de manière percutante, l’enlèvement de l’enfant. Mais non, il faut se frapper les scènes de l’amour paternel, comme si on avait besoin de nous prouver qu’un père va tout faire pour retrouver son enfant. Pour achever le truc, histoire qu’on n’ait pas de doute, on nous explique bien que la mère est morte.
Images KMD
Des aides sortis de nulle part
Elle vient d’où la copine bien pratique scientifique? Le journaliste la voit, murmure son prénom, la reconnaît visiblement, puis point à la ligne. Elle l’aide. Elle reste tout du long un personnage terne, sans aspérités, peu connu autre que superficiellement. Quelle est son histoire, quelles sont ses aspirations, ses pensées, pourquoi elle aide Choi Dae-ho… Nous n’en saurons rien.
Poster – Sol Kyung-gu 설경구
Park Yoo-chun
Le hacker en fauteuil a un côté mystérieux et intéressant qui aurait mérité qu’on creuse son histoire et ses sentiments. Ce que je trouve dommage, c’est que, comme bien souvent, le hacker est présenté comme un personnage surpuissant qui en deux clics fait des trucs de folie. Le scénario nous explique bien qu’on peut sortir de son propre rêve, mais pas de celui de quelqu’un d’autre. Ok. Ah ouais mais finalement tu as l’objet magique: il faut appuyer sur le bouton. Ah!!! Okkkkk! Oh ben oups, en fait il ne marche pas, mais le hacker tout puissant se jette dans la matrice, arrête la balle à main nue, et éjecte le dormeur. Mazette! On en fait des choses avec un clavier dites donc!
Malgré des changements de tons dans les couleurs des rêves et une couche d’effets spéciaux à coups d’immeubles qui s’autodétruisent, Lucid dream est surtout un polar finalement assez classique.
Acteurs
Choi Dae-ho (le père): Go Soo 고수 Song Bang-seop (l’enquêteur): Sol Kyung-gu 설경구 Kwon Yong-hyun (l’homme dans les rêves): Park Yoo-chun 박유천 So-hyun (la scientifique): Kang Hye-jung 강혜정
C’est dans Tempted (The Great Seducer 위대한 유혹자) (2018) que j’ai découvert pour la première fois les yeux en amande de Woo Do-hwan. Il y joue le rôle ambivalent d’un type sans cœur qui va s’en découvrir un.
Pour The Divine Fury 사자 (2019), le costume est plus sombre.
Image Cine21
The king eternal monarch
Dans The king : eternal monarch (더 킹:영원의 군주) (2020), son double rôle lui permet de mettre en avant son jeu d’acteur en incarnant en même temps deux personnalités diamétralement opposées. Et on peut dire que c’est réussi. Aussi bien le sérieux garde du corps Jo Yeong que le facétieux Jo Eun-seob sont à croquer.
Rien qu’en regardant les photos, on sent bien le potentiel comique de Woo Do-hwan dans Joseon attorney 조선변호사 (MBC 2023), son 1er projet après la fin de son service militaire.
Il joue un avocat qui a sa propre conception décomplexée de la justice et de la morale, mais en version gentil. Évidemment, une jolie jeune femme pourrait le ramener sur un plus droit chemin…
|MBC
Poong, The Joseon Psychiatrist
C’est son ami Kim Min-jae qui l’a invité à faire un cameo dans le dernier épisode de son drama Poong the joseon psychiatrist, à l’époque où Woo Do-hwan tournait Joseon attorney.
|real.be – instagram
BloodHounds
La vie n’est pas drôle dans BloodHounds 사냥개들 (Netflix 2023).
|wdohwan – Instagram 2023|Netflix
Mr Plankton – 2024
Il est mourant. Il enlève la mariée et l’entraîne dans un dernier voyage. C’est plein d’humour, et ça sent le mouchoir!
Je suis très fan des cahiers d’exercices en général, et celui-ci a été un vrai plaisir à utiliser. Personnellement j’ai besoin de m’entraîner, de faire moult exercices pour progresser, et c’est ce que ce cahier m’a permis de faire.
La structure
Les cahiers d’exercices se structurent par familles thématiques, avec des points grammaticaux, des banques de mots et des exercices. On peut s’auto-évaluer si on le souhaite.
La présentation est colorée et aérée. Cela peut sembler anecdotique, mais on a tout de même plus plaisir à travailler dans des conditions agréables.
Autoévaluation dans les cahiers
J’ai travaillé dans ce cahier en parallèle de la méthode de langue J’apprends le Coréen, aussi édité par Assimil, et c’était très bien ainsi. D’abord parce que ce sont les mêmes auteurs, et que l’on retrouve ainsi des mots ou situations vus dans l’autre ouvrage, ce qui sert de redite et de révision. Ensuite parce que je trouve que les deux se complètent bien.
Au fur et à mesure des chapitres, j’ai pu avancer dans mon apprentissage du coréen, de manière plutôt ludique et détendue.
Ce qui m’a manqué:
– un glossaire
Soyons honnête, je n’ai pas réussi à assimiler tous les mots des banques de mots. J’ai donc eu de facto des difficultés sur certains exercices, non pas au niveau du point grammatical ciblé, mais parce que je ne savais pas dire ou reconnaître tel et tel mot. J’étais ainsi obligée de feuilleter en arrière, sans toujours retrouver le mot en question. Un glossaire m’aurait vraiment arrangée.
– Un lien vers plus d’exercices
Eh oui, j’aurais voulu en faire plus! Pour chaque type d’exercice donné dans le cahier, j’aurais bien vu un nombre de questions plus important. La place étant physiquement limitée par le format et le coût d’impression, un lien web pour prolonger le plaisir et démultiplier les exercices aurait été parfait!
En conclusion
J’ai été très satisfaite d’utiliser ce cahier d’exercices Assimil, qui m’a permis de m’entraîner et de progresser.
J’en ai vraiment apprécié les thématiques et le fonctionnement et je le recommande absolument à tous les nouveaux apprenants de la langue coréenne, en complément de la méthode de langue.
Les Dreams, la pire équipe du championnat de baseball, celle qui finit dernière tous les ans, recherche son nouveau manager général. C’est Baek Seung-soo qui est recruté, au grand dam de la plupart des employés: il ne s’y connait pas en baseball, il ne leur murmure pas que leur équipe est formidable, avec un beau potentiel. Ses méthodes font s’élever de nombreuses oppositions, chez les joueurs comme chez les administratifs. Mais le plus gros problème, c’est le propriétaire du club, qui le sabre en douce.
Mes remarques, avec spoilers
J’ai dévoré ce drama à toute vitesse, sans m’ennuyer un seul instant.
Faut-il aimer le baseball pour regarder ce drama?
Définitivement non, ce n’est pas un prérequis. Pour ma part je n’ai aucune affinité avec le sport, par écran interposé ou non, et avec le baseball encore moins. C’est uniquement parce que j’avais entendu de bonnes critiques que j’y suis allée. Et quel plaisir! Il y a eu un seul épisode où j’ai trouvé qu’on parlait trop d’un match et des performances des joueurs, pour le reste c’est une thématique comme une autre. Si vous aimez la lecture, je vous conseille d’ailleurs dans la veine baseball, mais orienté romance, la série de Susan Elizabeth Phillips, les Chicago star.
Baek Seung-soo est un manager qui sort des clous. Pas à la manière bruyante d’un Trump, mais tout en calme. Il observe beaucoup, se renseigne, travaille ses fondamentaux pour maîtriser sur le bout des doigts son environnement. C’est un gars d’une grande intelligence qui prend en compte les états d’esprit pour savoir comment agir. Sous ses airs tranquilles, il a une volonté de fer.
Images Netflix
Le petit jeune
J’ai eu un petit coup de cœur pour Han Jae-hee, le petit jeune qui se présente comme pistonné. Il est marrant, enthousiaste, un peu exubérant comme un chiot, mais impliqué. Personnage secondaire pas si secondaire, il apporte une touche de fraîcheur tout au long des épisodes. J’avais déjà vu l’acteur Jo Byung-gyu dans Sky castle, c’est définitivement une valeur montante.
Je trouve terrible que la première chose dont on parle en présentant une personne soit son handicap. Pourtant c’est bien ainsi qu’est vu Baek Yeong-soo : un fauteuil roulant et un « frère de ». Les remarques de type « Qu’est-ce qu’il fait là? Il ne pourrait pas rester chez lui? » sont vomitives. Comme le drama est positif, Baek Yeong-soo arrive à s’imposer pour ses compétences et à être reconnu et apprécié de ses collègues pour ce qu’il est lui-même.
Images Netflix
Les intrigues
Un peu comme dans les intrigues de palais, les intrigues des grosses boîtes sont toujours de haut vol. Les grands manipulateurs se croisent, se poignardent, le jeu des alliances est en constant renouvellement. Chez Jaesong, la société qui possède les Dreams, on ne manque pas de faire honneur à cette tradition des riches connards dans les dramas.
Au travers de différents joueurs emblématiques de l’équipe, on s’immerge dans le monde du baseball, les problèmes de ce sport et des sportifs de manière plus générale. On découvre comment les joueurs sont recrutés, échangés, les salaires négociés. C’est à la fois un survol et une immersion très intéressante quand on n’y connaît rien.
On s’attache aux personnages au fur et à mesure qu’on découvre leur vie et leur vraie personnalité, on finit par prendre fait et cause pour les Dreams! La finale laisse ouverte l’option d’une seconde saison.
Acteurs
Baek Seung-soo (le manager général): Namkoong Min 남궁민 Lee Se-young (la directrice des opérations): Park Eun-bin 박은빈 Han Jae-hee: Jo Byung-gyu 조병규 Kwon Kyeong-min (le président): Oh Jung-se 오정세 Baek Yeong-soo: Yoon Sun-woo 윤선우
Le jeune Gong Woo-jin est amoureux d’une jeune fille qu’il croise régulièrement dans la rue. Suite à un malentendu, il pense être responsable de sa mort dans un accident de bus, et malgré les années passées, il est inconsolable. Après 13 ans de coma, Woo Seo-ri se réveille dans le corps d’une femme de 30 ans. Elle recherche sa famille, et tombe sur Gong Woo-jin, qui a emménagé dans son ancienne maison. Il l’accueille plutôt fraîchement.
Gong Woo-jin a géré sa douleur à la mort de celle qu’il aimait en se coupant des autres. Il se marginalise dans ses relations au monde, aussi bien pour éviter de souffrir que pour ne pas apporter le malheur aux autres. Du coup il en est devenu asocial et grossier, sans aucun égard pour autrui. Mais il a la chance que sa famille et ses collègues de travail l’entourent et le soutiennent. Sa rencontre avec Woo Seo-ri sera son chemin de rédemption.
Images SBS
Celle qui a grandi trop vite
Sa tête fonctionne comme celle d’une ado, son corps est celui d’une adulte. Woo Seo-ri se réveille comme si son accident avait eu lieu la veille, mais elle ne reconnaît pas son corps. Elle est seule et perdue. Si elle a des périodes en creux, son naturel agréable et optimiste prennent le dessus. Elle fait de gros efforts pour être une adulte, mais elle est souvent naïve et innocente, comme la jeune fille qu’elle était la veille encore.
Yoo Chan est un lycéen sportif, qui force plus sur le sport que sur les études. Il est gentil comme tout, a le cœur sur la main, mais n’est pas le plus futé, et c’est un vrai ado de 17 ans, pas toujours responsable. Il essaye de grandir à toute vitesse pour devenir un adulte digne de Woo Seo-ri. Ses efforts sont vraiment mignons.
L’amour à sens unique est toujours quelque chose de triste. Mais on sait bien que tout le monde ne peut pas être satisfait dans ses phantasmes. Même si c’est triste, lorsqu’un amour n’est pas payé en retour, il faut lâcher l’affaire et faire au mieux avec ce qu’on peut avoir. En lot de consolation, comme souvent, le scénario a gardé sous le coude un plan B, la fille qui veut absolument sortir avec Yoo Chan. Et puis soudain… elle disparaît sous un sac en papier et on n’entend plus parler d’elle.
Se faire bouffer par un sentiment: Culpabilité, jalousie
La jalousie de la célèbre violoniste Tae Rin la ronge. Elle se rabaisse elle-même face à ce sentiment; elle se compare de manière inutile et se rend ainsi malheureuse. Quand elle arrive à le dépasser, elle peut enfin vivre sa vie. Le sentiment de culpabilité ressenti par différentes personnes, Gong Woo-jin en tête, est très important, et le drama montre à quel point il peut changer et gâcher la vie des gens. Jalousie ou culpabilité, les sentiments négatifs phagocytent la vie de ceux qui en sont prisonniers. Dans Still 17, on reste positif et les personnages arrivent à se sortir de ces gouffres qui les absorbaient.
Woo Seo-ri: Shin Hye-sun 신혜선 Gong Woo-jin: Yang Se-jong 양세종 Yoo Chan: Ahn Hyo-seop 안효섭 Jennifer: Ye Ji-won le meilleur ami de Yoo Chan, Dong Hae-bum: Lee Do-hyun
|KOCOWA TV – [Exclusive Interview | Still17] ShinHyeSun, YangSeJong, AhnHyoSeop, YeJiWon|KOCOWA TV – Shin Hye Sun « I used to be a fan of Yang Se Jong » [E-news Exclusive Ep 74]
|VEM – Hyolyn(효린) – Just Stay – Thirty But Seventeen OST Part 2|vem – 에브리싱글데이(Every Single Day) – Seventeen – Still 17 OST Part 1|봉구(Bonggu) – Get away – Thirty But Seventeen OST Part 5|VEM – Tarin(타린) – Thirty Waltz (Thirty but Seventeen OST Part 3)
Tune in for love , film de Jung Jo-woo, 2019, 2h02
Le pitch:
Au milieu des années 90, les chemins de Cha Hyun-woo et Kim Mi-soo se croisent dans la boulangerie que celle-ci tient avec sa tante. Lui sort d’un centre de rétention pour mineurs et est embauché à temps partiel par les deux femmes.
Mais son ancienne vie revient le poursuivre, et suite à des malentendus, Hyun-woo et Mi-soo se perdent de vue. En 2000, Hyun-woo et Mi-soo se retrouvent par hasard. Une deuxième chance pour eux?
Mes remarques, avec spoilers:
Un film tranquille, un peu doux amer, qui avance en douceur. L’ambiance est mise dans les tons de gris et l’ambiance hivernale, un bloc de tofu et quelques regards tristes ou blasés.
Un chemin difficile
Les aléas de la vie viennent sans cesse se mettre en travers du chemin commun de Hyun-woo et Mi-soo. Cha Hyun-woo est un bon garçon, qui cherche à tout prix à rester dans le droit chemin, à ne pas créer d’ennuis, et à se construire une vie. Mais entre son casier judiciaire, un peu de manque de chance, et ses anciennes fréquentations, cette voie-là n’est pas facile à emprunter.
Image Netflix
Se sortir de la culpabilité
Le sentiment de culpabilité de Cha Hyun-woo a ses limites. Il sait bien qu’il n’est au fond pour rien dans ce qui est arrivé, que c’était un malheureux accident. Il a absolument besoin de tourner la page pour avancer dans sa vie. Le pèlerinage annuel le ruine moralement à chaque fois. Jung Hae-in est excellent dans son rôle. Il maîtrise parfaitement les moments silencieux et les regards. Celui à la fois tendre et douloureux que son personnage lance à Mi-soo le soir où elle lui permet de dormir chez elle est très beau et très juste.
Tune in for love – Poster
Aller vers ses rêves
Kim Mi-soo s’est démenée pour mener sa vie comme elle l’entendait. Elle est très attachée à Cha Hyun-woo, mais ses silences et ses mensonges lui font mettre un stop très clair à leur relation. Elle ne veut pas de ce type de lien sans honnêteté. Son personnage n’est pas exempt d’imperfections ou de choix contestables, mais elle avance vers ses rêves. Sillonnant entre les méandres de la vie, dans une fresque sociale de l’époque Tune in for love montre l’importance des choix de chacun, de faire amende honorable et du pardon. Un film à l’ambiance un peu triste mais qui va vers le meilleur.
Illang, un film de Kim Jee-woon 김지운, 2018, 138 minutes
Le pitch
Dans un monde où les deux Corée tentent de s’unifier, des opposants à la paix viennent interférer, qu’il s’agisse de puissances étrangères ou de rebelles internes. Une brigade spéciale de super soldats est créée pour maintenir l’ordre. Un incident lors d’une intervention va amener à la mort de jeunes filles, traumatisante pour le groupe. Im Joong-kyung est l’un de ces soldats. Alors qu’en mission il se retrouve à nouveau devant une jeune fille qui transporte une bombe, on lui demande ensuite d’aller rapporter le carnet personnel de la morte à sa seule famille, une soeur.
Mes remarques, avec spoilers
De l’esthétique
Le film est très soigné au niveau esthétique. Il y a une recherche sur les lumières et les couleurs, en raccord avec les décors. Le son des respirations des soldats de la brigade, leurs seuls yeux rouges qui paraissent dans le tunnel noir, les bruits de l’eau, des pas, on voit que tout est étudié. Le résultat est harmonieux, c’est un tout qui contribue à l’ambiance.
Un grand fouillis
Honnêtement, je n’ai pas tout compris du pourquoi du comment, de qui est vraiment méchant, de qui est avec qui, qui trahit qui… L’entrée en matière avec un voix off qui explique la situation politique est un peu rude pour commencer à appréhender le contexte. Au fur et à mesure du déroulé de l’histoire, je crois que j’ai pourtant fini par maîtriser cet aspect. Par contre, le fait de comprendre à quelle faction appartiennent les différents protagonistes a été encore plus difficile. Les imbrications des gens, des structures, les interconnexions, j’ai sombré. En bref, on veut piéger le super soldat Im Joong-kyung (je ne sais pourquoi) et il doit se sortir de là.
Image Netflix
Une romance?
Alors non. Plutôt une attirance douloureuse. Les héros masculin et féminin se rencontrent et communiquent par des regards. Il y a peu de mots entre eux, à part des mensonges et l’histoire du chaperon rouge, érigée en métaphore et soutenue par le manteau de Lee Yoon-hee. Pourtant, dans cet univers aux couleurs sombres, les acteurs arrivent à rendre le courant qui passe entre eux. Leurs regards étonnés, curieux ou douloureux suffisent à créer le lien; ils peuvent tout à la fois se trahir et se faire confiance.
L’action et les combats font aussi partie de cette recherche esthétique. La première scène d’entraînement est là pour poser les capacités du héros, qui peut jouer seul contre tous, si son point faible ne surgit pas. Comme dans un cycle, le fil de sa vie se passe aussi à combattre seul, avec la fille en manteau rouge comme talon d’Achille. Au fait, pourquoi sur la fin les autres loups lui livrent son costume de super héros puis le laissent se débrouiller comme un grand contre la horde de gens qui veulent le piéger? C’est tout juste s’ils n’ont pas sorti le barbecue et le soju en attendant à la surface de voir s’il allait ressortir vivant.
La dernière image est pour moi cryptique. Passé? Présent? Futur? Rêve? Le fait que Im Joong-hyung ait remis sa veste à col peau de mouton ne m’aide pas à éliminer des hypothèses.
Ce film est une adaptation basée sur l’œuvre du japonais Mamoru Oshii.
Im Joong-kyung: Gang Dong-won 강동원 Lee Yoon-hee: Han Hyo-joo 한효주 Jang Jin-tae: Jung Woo-sung 정우성 Han Sang-woo: Kim Mu-yeol 김무열 Kim Cheol-jin: Choi Min-ho 최민호
Ma k-playlist: quelques unes de mes musiques coréennes préférées.
Il y a tellement de chansons que j’aime, que j’ai envie de les partager avec d’autres. Même si beaucoup sont très connues, je trouve séduisant de s’intéresser à l’artiste, et de ne pas rester arrêté à sa chanson. Pour cette playlist de k-musique, J’ai voulu m’astreindre à ne sélectionner qu’une chanson par artiste (mazette, c’est trop dur! Oups, j’ai échoué). J’ai réduit ma liste jusqu’à n’avoir que celles que je peux écouter en boucle. Après avoir hésité à les ranger par types de musiques, par genres, j’ai finalement opté pour un banal et impartial ordre alphabétique.
10 cm (십센치)
La voix de Kwon Jung-yeol est aussi particulière que son nom de scène, qui était à l’origine celui de son groupe.
Min Yun-gi 민윤기 est plus connu sous le nom de Suga, du groupe BTS. Mais il utilise aussi Agust D pour ses activités solo.
Le rappeur des BTS nous a gratifié en 2020 d’une merveilleuse fresque uchronique: Daechwita. Son nom de Agust D peut être lu à de droite à gauche pour le comprendre: DT pour Daegu town (sa ville de naissance) et Suga à l’envers.
|Hybe labels – Agust D – Daechwita
BAEKHYUN (백현)
Byeon Baek-hyun est membre des groupes EXO et Super M, mais il connaît aussi un immense succès en solo. Baekhyun a une voix superbe.
S’il est trop difficile de choisir un morceau de Baekhyun, j’opte finalement pour UN Village, issu de son 1er mini-album, et pour Candy, même si j’ai un gros faible pour l’OST de Record of youth: Every second.
Membre de Got7, BamBam est un thaïlandais du nom de กันต์พิมุกต์ ภูวกุล (Kunpimook Bhuwakul) né en 1997.
|뱀뱀 (BamBam) Slow Mo – 2022 « 이제 우린 In slow motion 새 꿈을 꿔 » « A présent, nous, en slow motion, faisons un nouveau rêve »
B.I (비아이)
Ancien leader du groupe iKon, dont il composait toutes les chansons, B.I propose maintenant d’excellents titres solo. Entre Illa illa et Waterfall, mon cœur balance (BTBT), tout comme j’adore Flame et je suis dingue de Cosmos. Ce garçon a un talent incroyable. Son univers me bluffe, c’est un artiste exceptionnel.
| 131 label official – B.I 비아이 – KEEP THE FIRE ALIVE (COSMOS Message Film #1)
« A ship sailing far away cannot go quietly without encountering wind waves. Wind waves are always the friends of the advancing ones. There is rather life’s joy in hardship. What a monotonous voyage without a wind wave! The more hardships I suffer, the more my heart beats. -Friedrich Wilhelm Nietzsche-«
A l’origine composé de 2 membres, Bolbbalgan4 est maintenant représenté par la seule Ahn Ji-yeong 안지영.
| Super souds bugs – BOL4(볼빨간사춘기) – Butterfly Effect(나비효과)
BTS (방탄소년단)
Malgré une forte nostalgie pour la jeunesse des maintenant ultra-célèbres Bangtansonyeondan, avec un titre beaucoup plus rap comme No more dream, ma chanson favorite dans leur répertoire est Spring day. Vous pouvez trouver les paroles traduites chez Nautiljon
Les garçons ont maintenant tous entamé une carrière solo en parallèle du groupe, et vous pouvez tous les retrouver à titre individuel très actifs sur les réseaux sociaux (Instagram, Weverse etc.)
L’année 2020 a été difficile pour Chen, chanteur des EXO, qui a vécu des scandales « à la coréenne ». Il a annoncé avoir une petite amie, se marier, et devenir père quelques mois plus tard. Si vu d’ici on lui souhaite juste d’être heureux, toutes ces « révélations » sont plutôt mal passées chez certains fans. Dans ce contexte, son retour avec cette magnifique lettre qu’il leur écrit « Hello« , est encore plus belle. Les paroles chez Klyrics https://klyrics.net/chen-hello-annyeong/
Né en 2004, Kim Wu-rim (김우림) montre déjà un talent incroyable.
| D.Ark – Potential (잠재력)
DAWN (던)
Kim Hyo Jong (김효종) est un artiste extrêmement talentueux, né en 1994. Il a d’abord fait partie du groupe Pentagon, avant de partir pour P-nation pour faire une carrière solo. Il a un fort potentiel artistique et un univers très marqué. J’adore.
J’ai eu un gros craquage sur Butterfly (Horang nabi) et j’adore Dawndididawn. En ce moment je suis surtout raide dingue de Dear my light.
On retrouve son univers décalé dans son duo avec son ex-compagne HyunA « Ping pong« .
Sortis de l’émisson « survival » I-land, les 7 garçons formidables (Hee-seung, Ni-ki, Jay, Jake, Sung-hoon, Sunoo, Jung-won,) nous font de belles propositions de kpop et enchaînent les albums.
| Enhypen – Drunk-dazed
Epik High
| Epik High (에픽하이) – Rosario ft. CL, ZICO
from20 (프롬트웬티)
J’adooore la musique de from20 ! C’est donc un long article que je lui ai réservé 🙂
프롬트웬티 from20 – 친구들은 하나 둘 담배를 피우기 시작해 (Cigarettes&You)
GOT7
|Got7 – Encore
HA Hyun-sang
Chanson de l’OST A piece of your mind.
HA Hyun-sang – Slowly fall
Hello Gloom
J’aime Eyes on me et je suis une fan inconditionnelle de Dancing in the dark ♥♥♥.
Hello Gloom est issu du groupe Imfact. Il oeuvre au sein du collectif The faker club, avec son comparse from20.
IKON
J’aime de nombreuses chansons d’Ikon. Il y en a plusieurs que j’écoute en boucle, comme Killing me (2018), Love scenario (2018) ou Why why why (2021).
Son album Aeyo est superbe. Sa belle voix, en douceur, nous emporte.
김재중 (KimJaeJoong) – 여리디여린 사랑을 (Tender love)
Paul KIM et JUNG Hae-in
Dans leur version duo de la chanson de Paul KIM But I’ll miss you.
Paul KIM, JUNG Hae-in – But i’ll miss you
KIM Sung Kyu
Né en 1989 et membre du groupe INFINITE, KIM Sung Kyu chante aussi en solo depuis 2012. Je ne me lasse pas des accents doux de son « Hush » (2021). Paroles sur Klyrics 때론 수백 마디 말보단 한 번의 입맞춤이면 돼 Sometimes, instead of hundreds of words All we need is just one kiss »
| 김성규 (Kim Sung Kyu) – HUSH
LEE Hyori
Seoul – LEE Hyori
LEE Seung-gi
J’aime beaucoup de chanson de Lee Seung-gi, comme Return ou Last words, mais l’emblématique Love taught me to drink reste pour moi tout en haut.
Lee Seung-gi – Love taught me to drink
MAMAMOO
Mamamoo – Dingga
ONEUS
Mon premier coup de coeur pour Oneus s’est fait sur Lit.
ONEUS – Lit
ONEWE
Beaucoup de bons morceaux chez Onewe. C’est le groupe « frère » de Oneus, car ils se partagent un jumeau. Tous deux ont débuté en 2019 chez RBW, mais Onewe est un groupe band.
Onewe – Regulus
PARK Ji-hoon
J’adore Whisper, Wing, 360, Gallery, Gotcha... Je pense que PARK Ji-hoon va encore évoluer et nous présenter un potentiel artistique plus important.
박지훈(PARK JIHOON) ‘GOTCHA’
| 박지훈(PARK JIHOON) ‘Gallery’
PARK Yuchun
Voilà un garçon qui enchaîne les scandales: les femmes, la drogue, le service militaire, arrêter la chanson puis revenir… il n’est jamais en mal d’actions qui vont heurter ses compatriotes. Moi j’espère juste qu’il va continuer à chanter.
Park Yuchun – Walking with her in the spring
RM
Que ce soit sur Bicycle ou sur Seoul, la voix grave de RM me séduit.
RM – Seoul
SO Ji-sub
Chez So Ji-sub, j’aime beacoup See the light, mais pour moi 18 years reste ultime.
| So Ji-sub – 18 years
STRAY KIDS
Stray kids – District 9
SUPER M
De bonnes grosses productions pour les Super M de la SM, mais Jopping reste ma préférée.
Super M – Jopping
TAEMIN
Je ne vois pas bien comment choisir parmi toutes les chansons que j’aime de Taemin. J’opterais bien pour Under my skin, mais comme elle est en japonais, ça ferait désordre dans une k-liste. Ce sera donc Strangers.
Taemin – Strangers
Taeyon ( 태연)
The Rose
TREASURE
Treasure – I love you
TXT (투모로우바이투게더)
| Hybe labels – TXT (투모로우바이투게더) Frost
| Hybe labels – TXT (투모로우바이투게더) ‘LO$ER=LO♡ER’
U-Know (Yunho)
J’aime beaucoup son mini-album Noir. Je crois que ma préférée est Loco.
Un mec riche, gentil et super moche est amoureux d’une procureure super belle, qui bien évidemment ne veut rien savoir de lui. Par ailleurs il est fiancé à une arnaqueuse qui en veut à son pognon, mais le plaque d’un coup. Le mec riche meurt par accident interstellaire, ou à peu près. Contrits, les extra-terrestres qui l’ont tué le ressuscitent, mais sous sa forme vraie, celle de son cœur. Du coup le mec moche devient super beau. En cadeau, il a aussi une boule qui peut aussi ressusciter les gens, mais sans sa notice.
La procureure super belle meurt assassinée par un tueur en série, qui se fait tuer par un père vengeur. Le mec super-moche-devenu-super-beau ressuscite le tueur et sa belle. Tous ont changé d’apparence. La police enquête sur les meurtres, la procureure morte enquête, le moche-devenu-beau se colle à elle et enquête, l’arnaqueuse ressurgit, meurt et ressuscite…
Mes remarques, avec spoilers
Ok, pitché comme ça, le scénario a l’air un peu barré et alambiqué. Mais promis, en fait c’est bien foutu, bien organisé, pas si fou fou, et on suit facilement. Si ça démarre un peu lentement, ne vous inquiétez pas, après ça roule bien, j’ai vraiment accroché.
Le moche-devenu-beau
Ahn Hyo-seop qui doit jouer un type dont la caractéristique première est d’être beau, pas de souci, ça matche. Au début il est un peu énervant car il s’accroche à son arnaqueuse malgré ce qu’elle lui a fait, mais finalement on comprend que c’est juste un vrai gentil incapable de laisser sur le bord de la route une personne en détresse. Regarder Ahn Hyo-seop sur 16 épisodes, c’est pas une désolation. Franchement, comparé à l’air un peu con qu’il affichait dans Still 17, visuellement il y a un sacré gap.
Images TvN
La procureure
J’aime bien Park Bo-young. Pour ce rôle, elle est une personne carrée, rationnelle, froide, qui gère sa mort comme sa vie, avec ordre, raison et obstination. Elle est un peu risque-tout, d’ailleurs elle en meurt plusieurs fois. Heureusement, elle a été livrée avec la carte résurrection.
La progéniture du tueur
Oh Yeong-cheol n’est jamais en manque d’aides et de seconds couteaux, qu’ils le veuillent ou par la contrainte. Il n’hésite pas non plus à s’en débarrasser de façon définitive lorsqu’ils ont fini de lui servir. Je n’ai pas réussi à m’attacher à Jang Hee-jin. On a beau nous sortir les violons sur son enfance malheureuse et sur son amour pour sa mère, mon petit cœur ne s’est pas décidé à l’apprécier; je crois que je suis restée sur ses impressions premières et que je ne lui ai pas fait confiance. Je ne l’aime pas, dernier épisode compris. Seo Ji-Uk est plus intéressant comme personnage. Je me suis interrogée sur le moment de sa vie où il avait vrillé pour de bon. Qu’est-ce qui l’avait poussé au meurtre, ce type « bien sous tous rapports » qui avait eu une seconde chance? L’acteur Kwon Soo-hyun fait un très beau travail.
Je me suis demandée comment ils allaient faire durer l’histoire, car on connaît rapidement le coupable et tout semble se dénouer assez vite. Mais au niveau du scénario, il n’y a jamais de manque d’idées pour les rebondissements. Entre les nouveaux personnages, les anciens qui réapparaissent, les ressuscités, les motifs cachés soudain mis à jour, on ne piétine pas pendant cette enquête. L’enquêteur principal Park Dong-cheol mène bien son jeu.
Images TvN
Une romance
La relation entre Go Se-yeon et Cha Min est plutôt mignonne. Leur façon de se titiller, de se chamailler, de tout le temps se chercher les rend attachants. Et une fois qu’ils se sont déclarés, ils sont très soudés, même si Go Se-yeon, à son habitude, se montre plus froide, du moins de l’extérieur. Bon le coup du « En fait elle l’aimait déjà quand il était moche »… mouais.
Sérieux, cette habitude fréquente dans les dramas de faire soudain à la fin un break de 2 ou 3 ans entre les héros amoureux, parce que monsieur/madame veut partir étudier à l’étranger/créer son entreprise/élever des amibes en milieu hostile, ça ma fatigue. Je ne vois pas bien l’intérêt. Je ne peux qu’imaginer qu’il s’agit là, de manière induite, de dire que le couple amoureux survit au temps et à la distance. Mouais mouais. Dans Abyss, le scénario se surpasse dans le grand n’importe quoi à ce niveau-là. Je trouve que le break n’apporte rien à l’histoire, et la raison invoquée est de l’ordre de l’absurde amené à son paroxysme. Et soudain, pif paf pouf, baguette boule magique, et retour du héros. Pfff. Nawak. Ce sera mon plus gros reproche à ce drama.
Pour moi un très bon divertissement un peu choupinou mais plein de rebondissements, d’action et de love love love.
Go Se-yeon: Park Bo-young 박보영 Cha Min: Ahn Hyo-seop 안효섭 Oh Yeong-cheol: Lee Sung-jae 이성재 Park Dong-cheol (le détective): Lee Si-eon 이시언 l’arnaqueuse Jang Hee-jin : Han So-hee 한소희 le procureur Seo Ji-Uk : Kwon Soo-hyun 권수현
Oh Joon-woo zone chez lui sans rien faire d’autre que jouer aux jeux vidéos. Ce jour-là, son père, sa mère et sa sœur sont sortis. Une note sur la table lui demande de faire des courses, mais il est trop flemmard pour se bouger jusqu’à la supérette. Perdu dans ses jeux, il se rend petit à petit compte par les réseaux sociaux qu’il se passe quelque chose à l’extérieur: des gens deviennent méchants, s’agressent, s’entretuent, se jettent sur ceux qui ne sont pas infectés. Alors qu’il regarde d’abord via les informations à la télé, la folie prend de l’ampleur et surgit sous ses fenêtres. Il n’arrive plus à joindre sa famille, et ne peut plus sortir de chez lui. Les gens se transforment en zombies, le jeu de la survie a commencé.
Mes remarques, avec spoilers
Le film Alive se présente presque en huis-clos dans un appartement. De ce fait, pour un film de zombies, le rythme est assez lent, tournant autour du quotidien de Oh Joon-woo entre ses quatre murs, le danger étant extérieur. Les points de tension se font avec la venue du voisin, et les tentatives d’intrusion par la porte et par le balcon. Pour le reste c’est plutôt l’état d’esprit du reclus qui rythme le film.
|Netflix
Park Shin-hye longue à venir
Un tournant se fait avec l’arrivée à l’écran de la voisine d’en face, Kim Yoo-bin. Sachant que l’actrice était au casting, j’attendais de la voir; mais une bonne partie du film se fait sans elle. Lorsqu’enfin elle s’invite au scénario, les choses finalement ne bougent guère plus pendant un bon moment. Oh Joon-woo n’est juste plus tout seul moralement.
Poster Alive Netflix
Les raids dans les appartements
Le film commence vraiment à prendre des tours quand les protagonistes se lancent dans des raids vers les autres appartements pour se ravitailler. On ne peut manquer de se référer à Walking dead pour ce qui est film de zombies, et cela donne l’impression qu’il manque toute cette partie déplacements dans la nature ou en ville, génératrice de dangers, d’autant plus que les univers sont ouverts et les zones inconnues.
Visuellement, c’est très réussi. Les ambiances un peu glauques des appartements et le choix des lumières ajoute à l’atmosphère générale. Yoo Ah-in est très laid, loin de l’image qu’il peut avoir en photoshoot; il incarne le citoyen moyen qui ne prend pas vraiment soin de lui, aux vêtements confortables pour traîner à la maison. Les zombies sont réussis, aussi bien au niveau maquillage que dans leurs façons de se déplacer. Alive ne révolutionne pas le genre, mais reste un bon moment pour les amateurs de zombies.
My sassy girl est un drama de 2017, en 16 épisodes.
Le pitch:
La sassy girl est une princesse effrontée qui fait sans cesse le mur, au grand désespoir de son eunuque et de sa garde du corps, qui ont bien du mal à la gérer. Gyeon Woo est un fils de noble poli, bien éduqué, un symbole de réussite par les études, apprécié de tous. Suite à des malentendus lors de sa rencontre avec l’impertinente princesse Hye-myung, celle-ci le prend pour un pervers et lui mène la vie dure lorsqu’elle découvre qu’il vient d’être nommé précepteur de son petit frère. Comme toujours dans les palais impériaux, les intrigues et tentatives de prises de pouvoir s’en donnent à coeur joie. Justement, la princesse veut découvrir ce qui s’est passé 10 ans plus tôt, lorsque sa mère a été détrônée dans des circonstances troubles. Le trop serviable Gyeon Woo se retrouve mêlé à ses histoires.
Mes remarques, avec spoilers:
My sassy girl est un excellent sageuk, frais et divertissant. Les personnages principaux sont très attachants.
Le personnage de la princesse qui fait le mur dans sa belle robe, se saoule et rote à qui mieux-mieux, n’écoute rien de ce qu’on lui dit et donne des coups de pied dans les chevilles change des filles trop polies coincées dans leur vêtement traditionnel. Elle a l’habitude de ne pouvoir se confier à personne depuis que son père a interdit de ne serait-ce qu’évoquer le nom de sa mère. Elle est blessée que personne ne réponde à ses questions et essaye de se débrouiller toute seule. Croiser la route de quelqu’un de gentil et serviable comme Gyon Woo, qui va en plus la soutenir et l’aider, la change et la déstabilise, elle a du mal à y croire. Mais ensuite son coeur lui est tout acquis, même quand elle est décidée à ne jamais lui pardonner.
Gyon Woo est un érudit aux bonnes manières, qui veut toujours bien faire, et se retrouve incapable de dire non à la princesse ou de la laisser dans les ennuis. Mais à force de la côtoyer, il dépasse son sentiment un peu agacé pour apprendre à la connaître. On le voit petit à petit s’attacher à elle, y tenir de plus en plus, jusqu’à se sentir dépérir s’il en est séparé. La force du héros masculin dans ce drama, c’est l’acteur Joo Won. Sa façon d’avoir l’air attaché à la princesse et de sembler manquer d’air quand elle lui était arrachée… whaou.
Images Netflix
Un prince chinois express
Quand j’ai entendu parler du mariage arrangé avec un prince chinois, je pensais qu’on lui ferait le coup du vieux bedonnant. Perdu. Face à son physique avantageux, j’ai cru qu’il serait méchant et sournois. Perdu. Gentil, agréable, bienveillant, prêt à se mettre en quatre pour la princesse, un prince parfait. J’ai donc imaginé que la princesse allait se sentir tiraillée entre les deux hommes, et qu’on allait encore nous faire le coup du triangle amoureux. Perdu. Quand le prince est devenu suspicieux à l’égard de Gyon Woo, je me suis dit qu’ils allaient se battre et se détester, et peut-être à la fin s’allier pour sauver la princesse. Perdu. Pif paf pouf, déploiement de l’éventail merveilleux, et adieu le prince.
La « fille de » qui veut s’accaparer l’homme de ses rêves par un mariage arrangé n’y va pas avec le dos de la cuillère pour arriver à ses fins. Et pourtant, à aucun moment elle n’arrive vraiment à semer ses mauvaises graines entre Gyon Woo et la princesse; jamais il ne fait mine de se rapprocher d’elle, même par conventions. Bravo, gars. Et pour une fois, oui pour une fois, au lieu que la vilaine ne devienne gentille et trouve finalement l’amour ailleurs, parce que le karma des héroïnes de drama est bienveillant, celle-ci est punie. Et pas qu’un peu. J’en ai presque eu de la peine. Presque.
Toute la romance entre les deux protagonistes principaux est enrobée dans une histoire d’intrigues de palais comme les sageuk savent bien en faire, avec une méchante belle-mère, un infect ministre qui veut renverser le pouvoir, des gens cupides, un mystérieux vengeur masqué. La sauce traditionnelle, bien cuisinée.
Images Netflix
Mon coeur fendu mais heureux
J’ai été touchée par les sentiments développés par le couple principal. D’habitude dans les dramas, il y a toujours des moments plus où moins tristes vers la fin, où les protagonistes se disputent, se séparent, sont déchirés et ce genre de choses. Il est plutôt fréquent que cela me mette la larme à l’oeil. Dans My sassy girl, ma réaction a été plus profonde. Mon système lacrymal ne s’est pas mis en route, mais c’est au cœur que j’ai été touchée. Les regards blessés de Gyon Woo, son sentiment de culpabilité, le déchirement qui était en lui, son amour désespéré pour la princesse sans plus oser l’approcher, tout cela m’a vraiment fait ressentir sa détresse et m’a serré le cœur. Quelle belle performance d’acteur!
J’ai aimé que le scénario me surprenne plusieurs fois et j’ai vraiment apprécié ce divertissement.
À l’hôpital Doldam, les héros de la saison 1 sont allés voir ailleurs, et 3 nouveaux arrivants renouvellent le personnel: les docteurs Seo Woo-jin, Cha Eun-jae et Yoo Ah-reum. Il y a aussi un nouveau directeur Park Min-gook, et le retour d’un ancien méchant à un poste clé.
La guerre larvée reprend, l’hôpital lui-même est en danger.
Mes remarques, avec spoilers
La série reste bonne, mais j’ai été moins entraînée dans l’histoire que pour la saison 1 de Dr romantic teacher Kim.
On est content de les revoir
ça fait plaisir de retrouver l’équipe, même si elle a un peu changé. Mais l’ambiance de l’hôpital reste là, et on revoit ces bonnes vieilles têtes de la saison 1 comme on retrouve de vieux potes, avec leurs côtés charmants et leurs travers : Kim Sa-bu et l’infirmière en chef sont égaux à eux mêmes, Jang Gi-tae rit toujours de la même manière, et les gros pontes de Séoul sont méchants.
J’ai apprécié les personnalités des nouveaux soignants. Ahn Hyo-seop, qui interprète le chirurgien Seo Woo-jin, est tout aussi un plaisir pour les yeux que l’était Yoo Yeon-seok, on ne perd pas au change. Son personnage est plutôt réservé avec les mots, il a fort à faire avec ses problèmes personnels; mais une fois que le gosse blessé qui est en lui accepte de sortir de sa coquille, il s’intègre parfaitement à l’équipe de Doldam.
Le docteur Cha Eun-jae a un cheminement personnel plus long à faire pour devenir une fille bien et laisser tomber ses réflexes de fille gâtée égocentrique. Mais l’air pur des montagnes fait des miracles. L’interne Yoo Ah-reum est un personnage positif, souriant et bienveillant. Le méchant directeur qui a parfois des tiraillements de conscience est très bien joué par Kim Joo-hun.
Je ne sais trop cerner ce qui représente les points faibles de la saison, peut-être est-ce un mix de différents éléments du scénario. Le fil rouge du méchant qui revient et essaie d’être encore plus méchant en détruisant l’hôpital Doldam, bof. D’autant plus qu’on finit par apprendre que toutes ces intrigues sont de pure forme pour faire ch** le professeur Kim. Les créanciers de Seo Woo-jin créent une tension mais la conclusion en Deus ex machina, naaan franchement…
La romance entre Seo Woo-jin et Cha Eun-jae, je ne l’ai pas vraiment ressentie. Comme il la kiffe depuis longtemps, on ne sent pas s’éveiller ses sentiments et on n’a pas tous ces instants où ça monte petit à petit entre eux. Le baiser whaou n’a pas eu lieu non plus, malgré le clin d’oeil à la saison 1 avec la répétition du coucher de soleil dans les fenêtres. Dommage.
J’ai presque préféré le couple secondaire, formé par le docteur Yoo et l’infirmier Eun-tak. Kim Min-jae est une beau garçon, et quand on lui enlève sa blouse verte pour lui mettre un élégant manteau, il fait vraiment classe. L’instant mouchoir avec la mort de l’ancien directeur n’était pas nécessaire à mon sens, surtout tirée sur la longueur comme c’est ici le cas.
La pseudo enquête sur la maladie du professeur Kim, mouais. Je crois que les cas de patients que l’on suit en général sur un épisode et auxquels on s’attache le temps de leur histoire étaient plus saupoudrés sur cette saison et cela m’a manqué. C’est donc tout un tas de petits trucs qui mis bout à bout m’ont laissé une impression plus mitigée.
Cependant et malgré tout, on passe de manière générale un bon moment avec cette saison, mais pour arriver à l’apprécier il ne faut pas la comparer à la 1.
Kim Sa-bu: Han Suk-kyu 한석규 Seo Woo-jin : Ahn Hyo-seop 안효섭 Cha Eun-jae: Lee Sung-kyung 이성경 Park Min-gook: Kim Joo-hun 김주헌 Bae Moon-jeong: Shin Dong-wook 신동욱 Yoon Ah-reum: So Joo-yeon 소주연 Oh Myeong-sim: Jin Kyung 진경 Jang Gi-tae: Im Won-hee 임원희 Park Eun-tak: Kim Min-jae 김민재 le prisonnier Joon-Young (ép. 8): Kang You-seok 강유석