Il est un salaud de riche sans cœur devenu gentil dans Beating again (Falling for innocence) (Jtbc, 2015). Evidemment, c’est grâce à la force de l’amour que son cœur gelé se met à battre à nouveau.
| Jtbc – Beating again
Prison playbook
En 2017, il est un gardien de prison dans Prison playbook (TvN). Ami de longue date d’un détenu, il tente de lui faciliter autant que possible son séjour.
| TvN Prison playbook
Hospital playlist
Avec comme personnage un chirurgien doué mais sans filtre quand il s’adresse aux autres (Hospital playlist saison 1 – TvN 2020, Hospital playlist saison 2 – TvN 2021), l’acteur dégage une bonne énergie à travers l’écran.
Dans Crash landing on you, il fait un cameo sous l’apparence de Cha Sang-woo, l’ex petit-ami de Se-ri.
|Crash landing on you – Netflix
Crash course in romance
Jung Kyung-ho est un super prof de maths dans Crash course in romance (L’amour au rattrapage). Il se retrouve dans les ennuis quand il croise la mère de famille Nam Haeng-seon.
Une comédie romantique bien drôle!
|TvNjstar_allallj / Instagram – 2023
Labor Attorney Noh Mu-jin
Tournage 2024, aux côtés de Seol In-ah
Chanteur
Il a chanté sur quelques OST. Ici pour Hospital playlist:
Ce n’est pas un fou des réseaux sociaux, mais il a quand même un compte Instagram qu’il alimente de temps en temps. Instagram : https://www.instagram.com/jstar_allallj/
Dans cette interview, c’est mignon de vois à quel point il est plutôt timide et réservé quand il parle de sa relation amoureuse à la chanteuse de Girls’ Generation Sooyoung:
Jeon Nok-du vit tranquillement sur son île avec son père et son frère, jusqu’au jour où de mystérieux assassins tentent de les tuer. Décidé à savoir pourquoi ils ont été pris pour cibles, Jeon Nok-du va poursuivre l’un d’entre eux jusqu’à un village réservé à des femmes. Pour y entrer, il se déguise. Il y rencontre la jolie Dong Dong-joo, qui ne va pas le laisser indifférent.
Mes remarques, avec spoilers
Un déguisement parfait
J’aime beaucoup la première partie du drama, lorsque Jeon Nok-du est déguisé en femme à l’insu de tous. Cet état crée des situations inattendues, parfois cocasses, toujours intéressantes. Je ne trouve pas qu’il fasse une très belle femme, mais c’est un plaisir de le voir se dépatouiller dans son déguisement, être gêné quand les femmes sont naturelles entre elles, ou quand un homme lui fait une déclaration. Ce sont vraiment pour moi les meilleurs moments de la série. Lorsque le secret de Jeon Nok-du commence à s’effriter, les situations sont un peu différentes, mais cela permet d’avoir des moments plus intenses avec Dong Dong-joo.
Images KBS
Les veuves du village
Les quelques personnalités qu’on nous présente sont plutôt hautes en couleur, le groupe varié et sympathique.
Nok-du est très attaché à la famille qui l’a élevé pendant 20 ans: ils sont son point d’attache, et rien ne peut effacer l’affection qu’il a reçu de leur part pendant ces années. Pourtant le pauvre garçon voudrait tellement que son père biologique l’aime. Il a appris à l’apprécier dans un cadre privé, et le voir ensuite si froid et déterminé à le tuer le mine profondément. C’est tellement triste de voir ce jeune adulte, par ailleurs fort et mature, ressembler à un oisillon perdu lorsqu’il fait face à son père désaimant. C’est un baume pour mon petit cœur de savoir qu’il a au moins retrouvé l’amour de sa mère au cours de sa quête. Le frère de Nok-du, mouais bof. Il promène son air triste du début à la fin, et on ne sait pas trop pourquoi il fait la girouette.
Images Netflix
Des antagonistes de talent
Aussi bien l’infâme prince Neungyang que le roi font des opposants de qualité et sont bien joués. Le roi un peu fou a une personnalité agréable lorsqu’il ne se sent pas coincé dans les retranchements de sa fonction; il devient un vrai psychopathe assassin dès qu’il pense qu’on veut s’en prendre à son trône. Le prince, lui, est encore plus fou et sanguinaire sous ses airs de jeune homme charmant. C’est un vrai méchant, mais Dong Dong-joo est son point faible.
Images KBS
Des combats
Cette série nous offre de beaux combats à l’épée, bien chorégraphiés, avec des costumes qui virevoltent, pour le plaisir des yeux. Il y a un joli travail de fait sur les couleurs des costumes et de l’environnement, la photographie est soignée. Le combat de l’épisode 15 est tout particulièrement réussi.
La trame romantique entre les deux protagonistes principaux est attachante. C’est mignon de les voir dormir ensemble sans oser se rapprocher, ou alors passer la nuit avec la gosse au milieu. J’aime particulièrement le fait que Jeon Nok-du ne change jamais d’avis, n’a jamais le moindre moment de doute sur celle qu’il aime. Il lui a donné tout son cœur sans en garder le plus petit morceau.
Images KBS
Une série agréable, avec de bons moments et un couple principal sympathique.
Acteurs
Jeon Nok-du: Jang Dong-yoon 장동윤 Dong Dong-joo: Kim So-hyun 김소현 Prince Neungyang: Kang Tae-oh 강태오 King Gwanghae: Jung Joon-ho 정준호 Park Dan-ho: Hwang In-yeop 황인엽
Park Min-young 박민영 est une actrice sud-coréenne née en 1986.
La sautillante et sympathique Park Min-young est surtout connue pour ses comédies romantiques, dans lesquelles elle excelle, c’est d’ailleurs dans ce type de rôle que je l’ai vue pour la première fois.
Menue, elle est toujours parfaite pour jouer les jeunes femmes minuscules qui ont besoin de protection. Son physique se prête à être entouré par des bras costauds, dans lesquels elle pourra se lover. D’ailleurs, sa filmographie la montre qui donne la réplique aux plus beaux acteurs masculins de Corée.
Tour à tour journaliste et lutin joyeux, j’ai adoré son interprétation dans Healer (2014), aux côtés de Ji Chang-wook. Elle est tellement espiègle, sautillante, pleine de bonne humeur et de vie, j’ai immédiatement été sous le charme. Même si je sais bien que c’est un personnage fictif, sa façon de l’incarner m’a séduite.
| Healer – KBS
Sungkyunkwan scandal
Pareil pour son interprétation dans Sungkyunkwan scandal (2010). Fraîche, souriante, spontanée, juste à croquer. Elle y partage, excusez du peu, l’affiche avec Park Yoo-chun, Yoo Ah-in et Song Joong-ki.
| Sungkyungkwan scandal | KBS
What’s wrong with secretary Kim.
Dans What’s wrong with secretary Kim (2018), Park Min-young est au contraire une parfaite secrétaire hyper sophistiquée et professionnelle, d’apparence assez froide. Park Seo-jun comme partenaire, c’est la cerise sur le gâteau.
Her private life
Galeriste d’art dans Her private life (2019), elle est à la fois sophistiquée au boulot, et plutôt fofolle en privé. Ce n’est pas Kim Jae-wook qui s’en plaindra.
| Her private life
When the weather is fine
Dans When the weather is fine (2020) Park Min-young est cette fois-ci plus pleurnicharde qu’enjouée. Heureusement, Seo Kang-joon ne se laisse pas démoraliser.
| JTBC When the weather is fine
Forecasting love and weather
Jin Ha-kyung est une prévisionniste météo qui, après avoir été trompée par son petit-ami qu’elle allait épouser, se retrouve sans vraiment le vouloir dans les bras d’un homme plus jeune qu’elle. C’est aux côtés du séduisant Song Kang qu’elle joue Forecasting Love And Weather (JTBC 2022). Entre la question de l’âge et le fait que Lee Shi-woo soit un collègue de travail, elle n’est pas prête à assumer cette relation au grand jour.
| JTBC – Forecasting love and weather
Love in contract
Entre le titre et les posters principaux, Love in contract fleure bon la comédie romantique ultra chamallow pour faire fondre nos coeurs. N’oublions pas Go Kyung-pyo et Kim Jae-young pour un casting parfait. (TvN 2022)
|Viki
Marry my husband
Une comédie romantique qui a connu un très grand succès. Elle parle de vengeance et de revanche, mais aussi de seconde chance. Park Min-young donne la réplique à Na In-woo, et les acteurs secondaires ont été très remarqués.
Réseaux sociaux
Youtube Just Parkminyoung
Sur les réseaux sociaux, elle a ouvert en 2020 sa chaîne Youtube 그냥, 박민영 Just Parkminyoung, mais elle l’a un peu abandonnée.
Instalive du 19/04/2024|Instalive du 19/04/2024. Park Min-young est en Thaïlande, pays où elle s’est rendue pour faire un fan-meeting. Elle en profite pour faire le tour de sa chambre d’hôtel.|rachel_mypark Q&A du 28 février 2024| rachel_mypark – Instagram – 2022Instagram de Park Min-young
Park Min-young en photos
Image High cut
Park Min-young pose aussi régulièrement pour les plus grands magazines.
Kim Je-hyuk est un joueur star de base-ball. Le jour où un violeur agresse sa soeur, il le poursuit et le tabasse. Envoyé en prison, il va devoir s’adapter à sa nouvelle situation, entouré de codétenus pour certains violents, profiteurs ou complètement tarés. Heureusement, son ami Lee Joon-ho fait partie des gardiens et va tout faire pour le protéger.
Mes remarques, avec spoilers
Ce n’est pas particulièrement le genre de drama vers lequel je me serais spontanément dirigée. Mais tout d’abord Jung Hae-in y joue, et je lui fais confiance sur les scénarios, ensuite après avoir vu Hospital playlist et appris que c’est le même réalisateur, je n’ai plus hésité.
Images Netflix
Un héros un peu spécial
Le héros semble n’avoir pas toujours le cerveau qui tourne à plein, à moins que son problème soit justement que son cerveau est à son maximum. En dehors du baseball dans lequel il excelle, il ne donne pas l’impression d’avoir inventé l’eau chaude, ni même la tiède. Mais en fait il mène très bien sa barque. Un peu aidé par la change et par son ami Lee Joon-ho, doté de bon sens pratique, il arrive à naviguer dans ces eaux difficiles. Il est terre à terre, pragmatique, très premier degré, et finalement efficace pour mener sa vie. En plus c’est un bon gars, le coeurs sur la main. Faut juste pas le faire ch**, parce que là il devient primaire.
Images TvN
Une prison bon enfant
On est très loin de l’ambiance de la prison de Oz (référence de vieux, série US de la fin des années 90), qui était d’une violence extrême pour tous les protagonistes, détenus comme gardiens. « Gentil » y était un mot issu d’un dictionnaire imaginaire. A contrario, Prison playbook est franchement un drama familial. Même s’il y a bien entendu des méchants et des timbrés, la série se laisse regarder sans en faire de cauchemars.
La série se focalise beaucoup sur l’amitié, la main tendue vers l’autre, la notion de seconde chance. La plupart des agents pénitentiaires font preuve de beaucoup d’humanité envers les détenus, même s’ils savent être assis sur un baril de poudre avec certains.
Des codétenus aux petits oignons
Les compagnons de cellule de Kim Je-hyuk sont pour chacun d’entre eux des poèmes. L’accent à couper au couteau de Kaist est à lui tout seul tout un univers.
Images TvN
Le drogué est marrant et attachant, avec sa manière douce de parler, et sa façon de provoquer les autres. Il se fait tout le temps cogner à force de taper sur les nerfs de ses compagnons, et en même temps le groupe l’entoure et le protège. Le pauvre paye de prix fort sur l’autel du « ils ne furent pas tous heureux à la fin ». C’est lui qui sert de victime expiatoire à trop de choupitude dans cette série.
Jung Hae-in, on en parle ? Le capitaine Yoo arrive en toute fin d’épisode 5 et… waouh !!! Vous avez vu ce regard qui tue ? J’adore cet acteur !! On dirait qu’il va traverser l’écran et défoncer quelqu’un! Son interprétation du soldat qui subit plus qu’une injustice est extra.
Prison Playbook – TvN
Le perpète, avec son air pépère et paternel, montre son vrai potentiel à l’arrivée du larbin. Une scène surprenante, je ne m’y attendais pas!
Un éventail de gardiens aux sensibilités très variables
ça va du directeur qui veut profiter de tout pour se faire bien voir, mais qui sous son air bonhomme est capable de fermeté, à Na l’intransigeant psychorigide, en passant par le pourri qui extorque de l’argent. L’agent de proximité Paeng est celui dont on découvre petit à petit le plus d’éléments, de faiblesses et de tendresse sous ses insultes à répétition. Lee Joon-ho, l’ami retrouvé, sert de pilier pour Kim Je-hyuk, et en même temps lui aussi repense sa vie, ses priorités et ses objectifs.
Images TvN
J’ai vraiment passé un excellent moment avec ce drama, qui rebondit au travers de divers incidents dans le milieu carcéral pour faire avancer l’année de prison de Kim Je-hyuk, son évolution mentale, la naissance de ses amitiés, et son introspection, notamment amoureuse. Lui qui a tout perdu retrouve ses valeurs et ses priorités.
Acteurs
Kim Je-hyuk: Park Hae-soo 박해수 Lee Joon-ho: Jung Kyung-ho 정경호 Kim Min-chul: Choi Myung-soo 최무성 Kaist: Park Ho-san 박호산 Jean Valjean: Kang Seung-yoon 강승윤 Yoo Jeong-woo: Jung Hae-in 정해인 Gardien Paeng: Jung Woong-in 정웅인 Kim Young-cheol: Kim Sung-cheol 김성철 Lee Joon-ho jeune: Lee Do-hyun 이도현 Kim Min-sung: Shin Jae-ha
L’hôtel del Luna reçoit des clients particuliers: ce sont des fantômes en attente de passer dans l’au-delà.
Gu Chan-sung est un jeune directeur d’hôtel qui se retrouve affublé du don de voir les fantômes et propulsé malgré lui à la direction du Del Luna. Ses relations avec la responsable de l’endroit, la belle et froide Jang Man-wol, commencent difficilement. Mais alors Gu Chan-sung en apprend jour après jour un peu plus sur le passé de Jang Man-wol, il commence à la voir d’un oeil différent.
Mes remarques, avec spoilers:
Une agréable petite romance fantastique sur fond d’enquêtes et de fantômes, mais une fin trop évasive. L’idée du monde fantastique d’un hôtel qui reçoit des clients fantômes est chouette, les décors et la réalisation très sympas. On aime l’ambiance de l’hôtel, il y a une jolie esthétique et beaucoup de travail sur les lumières, de très nombreuses scènes se jouant de nuit.
Images Viki
Le passé des employés de l’hôtel vient émailler la structure du récit pour nous éclairer au fur et à mesure sur les histoires vécues par chacun, qui permettent de comprendre leurs attitudes et réactions dans cette vie. Si les histoires sont surtout centrées autour de Jang Man-wol, vers la fin on apprend aussi toutes celles des employés de l’hôtel.
Jang Man-wol est très froide. Au delà de son attitude capricieuse et dispendieuse, c’est vraiment sa froideur et son inhumanité qui la caractérisent, surtout au début. Petit à petit, elle met un peu d’eau dans son vin, et c’est assez amusant de la voir doucement plier face au strict Gu Chan-sung, qui une fois passées ses premières frayeurs, n’a absolument plus peur de Jang Man-wol et lui tient tête de manière assez amusante, dans un calme qui la déstabilise.
Un romance douce
Point de frénésie entre les deux protagonistes principaux. Jang Man-wol est encore empêtrée dans son histoire de plus de mille ans, et Gu Chan-sung est un garçon posé. On s’arrête à quelques délicats et parcimonieux bisous. Tous deux restent très en retenue, je les aurai aimé un peu plus passionnés et fusionnels, au moins dans leurs émotions.
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Les enquêtes
Toutes les petites enquêtes qui parsèment Hotel del Luna, au sujet du pourquoi du comment de la mort de tel ou tel fantôme, et pourquoi il ne peut quitter ce monde seraient une source inépuisable pour faire de nombreuses saisons de cette série. Et je ne dirais pas non! Le méchant qui apparaît vers la fin et sévit sur plusieurs épisodes est plutôt réussi. Je trouve que l’acteur Lee David fait un très bon boulot.
J’aime bien le personnage. Il est super gentil, mais pauvre gars, il a signé pour en ch***. Juste une question: Pourquoi un type qui s’appelle Sanchez parle Italien? J’ai dû mélanger ma géographie.
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La méchante ex
Dans son autre vie, elle a été très très méchante, et on la déteste pour ce qu’elle a fait. Dans sa nouvelle, elle semble prendre le même chemin, en s’imposant dans la vie de Gu Chan-sung et en y semant la zizanie. Et puis d’un coup, pouf, fini. Elle est gentille. Un peu caractérielle mais gentille. Mouais. En même temps on est contents pour elle, le policier est très sympa et ils forment un joli couple.
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L’ex superbe
Mazette comme il est beau Lee Do-hyun dans son costume de garde! Rien à dire de plus, j’adore sa prestance; il transcende son personnage. Je ne comprends pas bien son personnage. Pourquoi est-ce qu’il ne s’enfuit pas avec Jang Man-wol plutôt que d’épouser la princesse? En plus il part massacrer les rebelles et son ami. Pas étonnant que Jang Man-wol l’ait eu en travers pendant des siècles!
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Une fin qui laisse perplexe
En fait je n’ai pas tout compris. C’est quoi l’idée de cette fin? S’ils ne se sont pas tous réincarnés en mode illico presto pendant que Gu Chan-sung n’avait même pas vieilli (en ayant tous perdu la mémoire de leur précédente vie, sauf Jang Man-wol revenue avec tous ses souvenirs pour vivre d’amour avec Gu Chan-sung), alors c’est juste que Gu Chan-sung est tellement malheureux qu’il s’imagine retrouver Jang Man-wol. Snif, cest moche comme fin.
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Heureusement, l’espoir est permis car l’hôtel a eu un nouveau propriétaire (Kim So-hyun himself), laissant ouverte la possibilité d’une saison 2, ce qui serait vraiment bien.
Images TvN
Acteurs:
Jang Man-wol: IU 아이유 (Lee Ji-eun 이지은 ) Gu Chan-sung: Yeo Jin-goo 여진구 Sanchez : Jo Hyun-chul 조현철 Kim Seon-bi: Shin Jung-geun 신정근 Choi Seo-hee: Bae Hae-sun 배해선 Ji Hyun-joong: P.O. (Pyo Ji-hoon) 표지훈 Go Chung-myung: Lee Do-hyun 이도현 Seol Ji-won : Lee David 이다윗 Le prêtre exorciste : Lee Joon-gi 이준기
Scénario: Hong Jung-eun 홍정은 Hong Mi-ran 홍미란 Réalisation: Oh Choong-hwan 오충환
Dans Man to man, Kim Seol-woo, un agent ultra secret, pour le bien d’une mission se retrouve garde du corps d’un célèbre acteur de films d’action. Il doit gérer les caprices de star de celui-ci, ainsi que sa super-protectrice agent/meilleure amie/fangirl/casse-bonbons Cha Do-ha. Froid et déterminé à mener à bien sa mission, Kim Seol-woo entraîne l’acteur et son petit monde dans ses missions. Et il se retrouve à jouer la difficile carte de la romance avec Cha Do-ha. En même temps, quelqu’un essaye de se débarrasser de l’acteur, le père de Cha Do-ha sort de prison, et un politicien véreux fait le politicien véreux. La mission de Kim Seol-woo tourne au désastre.
Mes remarques, avec spoilers:
Une série d’agent secret en mode second degré à la coréenne.
Une intrigue bien ficelée
Toute la partie espionnage, avec les statues à récupérer, les politiciens et gens avides de pouvoir prêts à tout pour en avoir toujours plus est sympa et on suit avec plaisir le fil de l’action qui nous dévoile peu à peu les méchants et les motivations des uns et des autres.
Images Netflix
Des combats et des effets spéciaux
La réalisation fait en sorte qu’on se sente dans un film d’action et d’espionnage, avec ce qu’il faut de scènes d’action et de combat, des rayons lasers qui protègent des statues, des bombes de diverses natures, des micros espions, des traceurs, et de supers agents snipers aussi débrouillards que MacGyver (référence pour les vieux). Aucune hésitation sur les clichés, on les trouvera à peu près tous, restez ouverts d’esprit.
Du second degré humoristique
Ne pensez pas que c’est un film d’espionnage en mode sérieux. Tout est sous-tendu de ce second degré coréen qui peut faire passer leur humour ou certaines scènes pour « too much » si on n’a pas l’habitude du genre. Pensez bien à garder l’esprit ouvert.
Un acteur qui se prend pour son propre héros
Yeo Woon-gwang ne s’amuse plus dans sa propre vie de superstar, il est blasé de tout, et mettre un pied hors de son lit est déjà une épreuve en soi. La rencontre avec le garde du corps Kim Seol-woo va l’extraire de force de sa zone de confort et lui faire retrouver un entrain perdu. Shooté à l’autosatisfaction, il va prendre son pied à être un super-héros même dans la vraie vie.
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Une pénible amoureuse
Le personnage de Cha Do-ha est à la fois pénible et attachant. Elle veut tout contrôler autour de son oppa Yeo Woon-gwang qu’elle fangirl à l’excès, le materne et l’enquiquine. Elle va tenir à l’oeil et à distance le garde Kim, qui bouscule son chéri. Quand elle finit par tomber sous le charme du garde Kim, une fois que celui-ci lui est acquis, elle ne le traite pas comme quelqu’un de précieux dont on veut passer chaque seconde en sa compagnie. Elle est plutôt du genre: « Non non j’ai pas le temps de te voir, là je bosse. Allez, à plus mon gars. » Moi ça me défrise, mais chacun son tempérament, hein.
Images Jtbc
Un agent secret qui ne sait plus où il est
L’agent Kim est présenté comme ultra doué et froid, sans sentiments. Et de fait, visuellement, il reste parfait: manteau bien coupé, pas un pli sur ses vêtements, pas une mèche de cheveux qui se déplace, expression faciale impénétrable. Mais peut-être est-il devenu trop vieux et s’est ramolli, toujours est-il qu’il fond au contact de l’acteur et de sa manager il n’arrive plus à garder sa mission sur le plan purement professionnel. Sous couvert de mission, il laisse trainer sa langue dans une bouche féminine, fraternise devant des jeux vidéo avec ses collègues du NIS, et la ville entière connaît sa planque puisque tout le monde y débarque.
Images Jtbc
Un beau-père aux petits oignons
Il est marrant le père de Cha Do-ha. Un poil dans la main sauf pour mettre en route une combine foireuse, pas fiable pour deux sous, entre mauvais coup affable et maladresse piteuse, il met son grain de sel dans l’histoire.
Des méchants qui dégonflent comme un soufflet
Chaque méchant battu devient un gentil toutou, ou alors il y a un super méchant level 2 en embuscade, avant de finalement apprendre que tout venait du super méchant level 3. Restez ouverts d’esprit, disais-je, sortez le pop-corn, vous verrez que cette série se laisse tout à fait regarder.
Acteurs:
Kim Seol-woo: Park Hae-jin 박해진 Cha Do-ha: Kim Min-jung 김민정 Yeo Woon-gwang: Park Sung-woong 박성웅 Song Mi-eun: Chae Jung-an 채정안 Mo Seung-jae: Yeon Jung-hoon 연정훈
Park Hea-jin est une grande star en Corée et en Chine. Il a tourné dans de nombreux films et drama, a été de multiples fois récompensé.
On découvre un Park Hae-jin très naturel et agréable en interview. J’ignore pourquoi je le pensais bien plus froid, le visionnage de ses interviews a donc été pour moi agréablement positif.
J’aime bien les émissions comme Gerilla date, où les acteurs sont mis directement face à leur public. Tous ont des réactions et des comportements différents, du vrai timide au faussement humble. Pour Park Hae-jin, c’est une attitude incroyablement détendue, naturelle et ouverte qu’il affiche, loin de certains de ses rôles à la posture très contenue.
Malgré tout, alors qu’il a ce naturel qui pourrait faire penser qu’il est d’abord facile, je trouve que quelque chose dans sa façon d’être et de se tenir suggère qu’il arrive à tenir ses distances et qu’on ne va pas aller boire un coup ensemble tous les week-ends.
Sur les réseaux sociaux, sa communication est très institutionnelle. Sur Instagram elle est estampillée Mountain mouvement (son agence), ne laissant pas de place aux selfies délirants, ou aux images un tant soit peu personnelles. Dommage.
Park Hae-jin acteur
En tant qu’acteur il tourne beaucoup. A chaque fois, on ne peut pas ne pas remarquer sa présence à l’écran.
Mon amour venu des étoiles
Je l’ai vu en bel éconduit dans You Who Came From the Stars 별에서 온 그대 (SBS, 2013), où il a beau déployer tout son charme, il n’arrive pas à la cheville de l’homme mystérieux tombé des étoiles.
I Mon amour venu des étoiles – Image SBS
Doctor stranger
Il est un chirurgien talentueux obnubilé par un esprit de vengeance dans Doctor Stranger 닥터 이방인 (2014).
| SBS – Doctor stranger
Cheese in the trap
Park Hae-jin joue l’adorable inadapté social dans Cheese in the Trap – 치즈인더트랩 (tvN, 2016).
Cheese in the trap – Image TvN| TvN – Cheese in the trap
Man to man
Pour Man to Man – 맨투맨 (JTBC, 2017) il est un agent très secret qui doit se fondre dans le monde du cinéma pour récupérer une précieuse clé.
Man to man –Image Jtbc| JTBC – Man to man
Forest
Dans Forest – 포레스트 (KBS, 2020), il est un pompier sauveteur en montagne aux intentions troubles.
Forest – Viki
The killing vote
|SBS – The killing vote
Park Hae-jin mannequin
Evidemment il pose pour les plus grands magazines (Elle Korea, Esquire…)
Hospital playlist, c’est un groupe de 5 amis qui se sont rencontrés à la fac travaille dans le même hôpital. Chacun dans des spécialités différentes, avec des personnalités tout aussi variées, ils ont une forte et indéfectible relation amicale qui les lie au quotidien. Entre opérations chirurgicales et patients disparâtes, le groupe d’amis décide de recréer leur groupe musical pour décompresser ensemble.
Mes remarques, avec spoilers
Un très chouette groupe d’amis avec lequel on passe un super bon moment. Tous les 5 dégagent de bonnes vibrations, et suivre leur quotidien est vraiment plaisant. Ils traitent leurs patients avec la même humanité qu’ils ont les uns envers les autres. L’axe de l’amitié sous-tend tout le drama, et leurs histoires de coeurs saupoudrent l’histoire.
Images Netflix
Le froid chirurgien cardiothoracique
De prime abord peu sympathique, Kim Joon-wan a des manières froides et un parler cassant. C’est vraiment marrant de le voir se transformer en quelqu’un de très attaché et attentif à l’autre dans sa relation à la soeur de Lee Ik-joon.
Un asocial bien dans ses baskets
Il faut creuser un peu pour trouver le charme de Yang Seok-hyun dans Hospital playlist. Ce taiseux qui a du mal à s’intégrer et à communiquer est bien entouré dans son groupe, qui prend soin de lui sans le traiter de manière différente. Les autres s’adaptent juste à sa personnalité et l’acceptent, comme ils le font d’ailleurs tous entre eux. Même s’il a du mal dans son expression de sa relation aux autres, Yand Seok-hyun est bien dans sa tête. Les émissions débiles qu’il regarde en cachette le rendent heureux, et la présence parfois étouffante de sa mère ne le dérange pas le moins du monde. Il fait au mieux pour être à l’aise dans son environnement.
Elle trifouille dans votre tête mais ne laisse rien voir dans la sienne
La neurochirurgienne Chae Song-hwa maîtrise tellement tout son environnement qu’elle pourrait sembler plus robotique qu’humaine sans son implication indéfectible pour ses patients et ses collègues. Par contre du côté de ses amours, elle est plutôt à la ramasse, et à part la fuite, elle ne semble pour l’instant pas penser grand chose de son triangle amoureux.
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Mon chouchou
Avec un panel de personnalités aussi différentes dans les acteurs principaux, chacun aura sa préférence. La mienne va de manière inconditionnelle au pédiatre Ahn Jung-won. Je l’ai aimé tout du long, mais ah mazette, le baiser de la fin… j’espère que tout va bien aller pour lui en saison 2! Ce grand garçon aux épaules carrées a une personnalité trop sensible pour le métier qu’il exerce, et l’acteur arrive à rendre de manière formidable l’amour et la dévotion que son personnage a pour les enfants. Nostalgique de sa vocation contrariée pour les ordres, ce n’est que lorsque tout le monde autour de lui aura accepté de le laisser libre de son choix qu’il pourra vraiment prendre sa décision.
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Le père de famille
La fonction paternelle de Lee Ik-joon surpasse sa fonction médicale, même s’il est un excellent praticien très impliqué dans son métier. Et c’est tant mieux. La difficulté d’être père célibataire n’est pas vraiment évoquée ici, tant il semble ne jamais y avoir de problèmes de nounou, malgré les horaires de fou du docteur.
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Pour nous faire fondre
Le fils de Lee Ik-joon est vraiment à croquer. Il est super mignon aussi bien dans ses attitudes que dans sa relation à son père. Les deux font un duo du tonnerre, et la petite bouille souriante ou sérieuse du fils est une boule de choupitude. Vous ne pourrez pas ne pas craquer pour lui.
Image TvNImage TvN
Des vieux au top
Même s’ils ne dégagent pas le taux de mignonitude du fils de Lee Ik-joon, j’adore le groupe des anciens. Ils sont pleins de pep’s et de bonne humeur, et combattent les maux de l’âge avec énergie et philosophie.
Une foultitude de second leads intéressants
Le scénario est suffisamment bien écrit pour que l’on puisse avoir de la matière sur de nombreux rôles secondaires et s’attacher à eux. Même les jumeaux stagiaires, dont le rôle de suiveurs dans l’histoire peut sembler mineur, ont leur intérêt. Sans parler de tous les internes ou autres professionnels hospitaliers qui se révèlent au cours de l’histoire, tout comme les malades que l’on suit, rendant le panorama de l’hôpital complet.
J’ai pris un vrai plaisir à regarder ce drama. Je croise les doigts pour la suite et attend la saison 2 de pied ferme.
Acteurs:
Lee Ik-joon: Jo Jung-suk 조정석 Ahn Jung-won: Yoo Yeon-seok 유연석 Kim Joon-wan: Jung Kyung-ho 정경호 Yang Seok-hyun: Kim Dae-myung 김대명 Chae Song-hwa: Jeon Mi-do 전미도 Jang Gyeo-ul : Shin Hyun-been 신현빈
Hong Seol est en fac d’économie. Elle remarque que Yoo Jung, un garçon populaire, n’est peut-être pas la figure lisse et parfaite qu’il affiche. Entre les deux un chemin de soupçons, de découverte de l’autre, d’attirance, de manipulations et d’acceptation se trace.
Baek In-ho est un garçon un peu à la dérive depuis un accident survenu quelques années plus tôt. Lui aussi a un lien avec Yoo Jung. Et lui aussi remarque Hong Seol.
Mes remarques, avec spoilers
Avec un titre pareil, je m’attendais à plus de délires et de second degré. Mais non. C’est un drama assez classique, avec un triangle amoureux et quelques réflexions plus profondes sur les interactions sociales entre les gens.
Un Yoo Jung de marbre
Park Hea-jin garde presque du début à la fin une poker face qui participe à son jeu dans lequel on ne sait pas vraiment s’il est méchant ou gentil. La personnalité de son personnage est bien desservi par cet air impassible, sur lequel tout semble couler, même quand tout se délite autour de lui.
J’ai aimé cet être sensible qui a du mal avec le reste de la société, sauf à faire semblant, et qui est destabilisé par Hong Seol, qui ne le traite pas comme les autres. Cette rencontre lui fait beaucoup apprendre en terme d’humanité.
Pour ce rôle, Park Hae-jin a gagné le Korean Cable TV Award 2016 du meilleur acteur, ainsi que le 1st Asia Artist Awards 2016 Best Artist Award, Actor. Il a aussi été nommé au 9th Korea Drama Awards dans la catégorie Excellence Award, Actor, et au 5th APAN Star Awards, catégorie Best actor in a Miniserie (Excellence Award).
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Un Baek In-ho flamboyant
L’outsider Baek In-ho jette des étincelles.
Ce personnage trop sanguin, fougueux, qui a le chic pour se fourrer dans les ennuis, est un garçon au grand cœur que la vie n’a pas épargné. Il se donne un mal fou pour s’en sortir, mais les ennuis aiment bien le rattraper. L’acteur Seo Kang-joon est flamboyant. Les expressions de colère, de tristesse dans ses yeux sont superbes. Ce type a une vraie présence, et au-delà de son personnage positif, son talent d’acteur lui fait crever l’écran.
Baek In-ha la tarrée
Cette fille est complètement barge, du début à la fin. Le genre de personnage toxique dont il faut se tenir loin dans la vie, qui n’apporte que des ennuis. Son frère n’a vraiment pas de chance d’avoir un boulet pareil greffé à lui. Même si elle a eu des difficultés dans sa petite enfance, c’est une fille qui a ensuite été pourrie-gâtée, qui ne sait rien de la difficulté de gagner de l’argent pour survivre, elle pompe sans vergogne l’énergie des autres et est profondément malfaisante pour arriver à ses buts.
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Les difficultés de la relation sociale
Yoo Jung est un garçon différent. Il a du mal avec la sociabilité, avec l’expression des relations amicales ou tout simplement dans son contact avec les autres. Cela le rend juste un peu différent. Chacun devrait avoir le droit d’être différent sans qu’on le maltraite.
Mais quoi qu’il fasse, les gens lui en veulent. S’il est le lui-même, on lui reproche sa personnalité. S’il met son masque pour se conformer à ce que les autres attendent de lui, on lui reproche d’en porter un. Il se retrouve donc à porter un masque, et à tout mettre en œuvre pour que les autres ne s’en rendent pas compte.
Mais quoi qu’il fasse, les gens lui en veulent. S’il est le lui-même, on lui reproche sa personnalité. S’il met son masque pour se conformer à ce que les autres attendent de lui, on lui reproche d’en porter un. Il se retrouve donc à porter un masque, et à tout mettre en œuvre pour que les autres ne s’en rendent pas compte.
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Pointer du doigt le coupable
C’est le vainqueur qui désigne le coupable. Et la meute hurle. Peu importe à quel point le harceleur pourrit la vie de Seol pendant des mois, au final c’est le fait qu’on le dénonce publiquement qui est pointé du doigt. Peu importe que le gros soit un profiteur qui va jusqu’à voler un document important, au final c’est sa punition qui est pointée du doigt. Qu’importe que la rouquine soit une envieuse jalouse voleuse, au final c’est celle qui la dénonce publiquement qu’il est pointée du doigt pour avoir mis à mal le groupe entier.
Ce drama est une longue suite d’exemples du même type d’injustices. Oui, Yoo Jung a des difficultés d’adaptation sociale. Mais c’est la meute qui le tyrannise, et il répond avec les seules armes qu’il connaît, derrière ce masque qu’on lui a demandé de mettre. Les gens ont le droit d’être différents. On les aime ou on ne les aime pas, mais ce n’est pas une raison de leur faire du mal.
Je te quitte parce que je t’aime
C’est vraiment pourri ce ressort scénaristique. Est-ce que rendre quelqu’un triste à en crever pendant trois ans c’est lui faire du bien ? « Nous nous aimons mais je ne suis pas assez bien pour toi, ta vie sera meilleure si je ne suis pas là. » Mais quel monceau de conneries. Du moment que l’autre est d’accord pour t’aimer comme tu es, ducon, tu acceptes. T’es vraiment un couillon fini de lui broyer le cœur comme ça. Et moi j’ai juste envie de bouffer le scénariste.
Il aurait au moins pu garder la bague cet abruti. Il n’a jamais autant souri que quand il était avec elle. Son visage se transformait, et le bonheur était au rendez-vous. La quitter c’est vraiment n’importe quoi.
J’ai aimé ce drama et les réflexions qu’il soulève, mais j’ai détesté la fin.
C’est quoi cette fin ouverte, nom d’une noisette ? Moi j’aime les happy-end, et tout va bien, et il s’aimèrent pour l’éternité. J’ai besoin de le voir, de l’entendre, de le toucher. Le « ouais, peut-être que… » c’est nul. Je n’ai pas envie de l’imaginer, j’ai envie de le voir et de le vivre par l’écran interposé.
Pour info, ce drama est l’adaptation d’un webtoon éponyme.
J’ai débuté ce cahier d’écriture en même temps que la méthode J’apprends le coréen avec Assimil pour comprendre la langue. Je ne me suis pas servi du cahier lui-même pour écrire à l’intérieur, car il faut beaucoup plus de temps et de lignes que ce qu’un cahier peut proposer pour s’entraîner. J’ai donc pris des feuilles, et copié des pages et des pages de caractères.
La méthode est bien faite, car elle indique précisément dans quel sens et dans quel ordre écrire la lettre. On voit tout d’abord les consonnes, puis les voyelles. Ensuite est expliqué comment combiner les syllabes.
La prononciation
Il y a des indications sur la prononciation, mais là, au moins au début, on arrive aux limites de ce que notre oreille européenne petit différencier. Il y a des sonorités auxquelles nous ne sommes pas habitués. Personnellement je n’entends toujours pas la différence entre o et ô, et j’ai des difficultés à entendre certaines doubles consonnes. Mais je suppose que cela viendra avec le temps.
Écrire, écrire encore
Comme j’ai travaillé en parallèle avec la méthode de langue, arrivée à la leçon 25 de celle-ci, j’ai tout repris depuis le début pour me faire des dictées de phrases, afin de mieux maîtriser l’écriture. J’ai trouvé cela utile ; cela a augmenté ma fluidité d’écriture, même si c’est encore loin d’être parfait.
Deux livres complémentaires
Je pense que c’est vraiment bien d’avoir utilisé en même temps le cahier et la méthode, les deux se complètent, et les deux sont très bien. Je reviens régulièrement voir mon cahier d’écriture lorsque j’ai des doutes sur l’ordre d’écriture d’une lettre ou sur la prononciation.
Ban Ji-yeon est une journaliste à sensation expérimentée qui n’hésite pas à se déguiser et à s’infiltrer pour obtenir des scoops pour ses articles. Peu populaire auprès des autres journalistes de son agence, elle est surnommée la sorcière. Yoon Dong-ha est un gentil jeune homme qui enchaîne les petits boulots pour survivre, et les galères. Quand Ban Ji-yeon, pressée par le temps pour rendre un scoop, vole sous les yeux de Yoon Dong-ha le vélo d’un enfant, celui-ci n’hésite pas à la poursuivre en courant jusqu’à son journal. Et on peut dire que pour leur première rencontre, tout le contraire de l’amour fous.
Pas de magie ni de sorcellerie par ici, à part le titre du drama et le surnom de Ban Ji-yeon, mais une histoire d’amour rendue difficile par la différence d’âge entre les protagonistes.
Une femme plus âgée
La thématique principale abordée ici est la différence d’âge, avec une femme plus mûre que le jeune homme qu’elle fréquente. Ou pourrait fréquenter. Car c’est elle qui met un frein à ce qu’elle ressent à cause de son âge, par peur du regard des autres. Lui n’a pas ce problème, il est au contraire fier de s’afficher avec la femme qu’il aime, il est moins soumis aux tabous sociaux.
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Un jeune homme vivant et adorable
Yoon Dong-ha est un jeune homme admirable, qui se bat au quotidien pour joindre les deux bouts. Il ne ménage pas sa peine, travaille dur et honnêtement, et est fier de ce qu’il fait, même si ce ne sont que des petits boulots. C’est un personnage positif auquel le spectateur peut avoir envie de ressembler. Beau, gentil, attentionné, souriant, travailleur, c’est un boyfriend de rêve.
Yoon Dong-ha et Ban Ji-yeon
Les deux s’entendent formidablement bien, ils font la paire. Très complices, ils ont les mêmes délires. Lorsqu’ils sont ensemble, ils se comprennent, ont le même sens de l’humour et travaillent en parfaite harmonie. À part cette question d’âge, il n’y a vraiment rien pour les séparer, d’autant plus qu’ils sont tous deux attirés vers l’autre. Mais allez-y, faites-vous plaisir !
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Le retour de l’ex
Quand celui-là pointe le bout de son nez, il est clair qu’on n’a pas envie de le voir. Tranquille, il a attendu 6 ans pour refaire surface, et veut reprendre sa place comme si de rien n’était. Dis-donc, coco, c’est un peu facile comme attitude. Même si au départ il y a eu des malentendus des deux côtés, 6 ans c’est un chouïa long pour arriver la bouche en cœur, tu ne trouves pas ? Allez ouste, hors de ma vue. Allez, j’avoue, je suis un peu dure, car malgré tout, je comprends que Ban Ji-yeon, qui s’est traîné cette plaie béante au cœur aussi longtemps, ait envie d’y croire et de cicatriser. Pourtant c’est triste de la voir plus s’enfoncer dans de vieilles habitudes que dans un amour profond qui aurait refleuri. L’humain est ainsi fait qu’il va vers la facilité et les situations connues et confortables.
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Les potes
En personnages secondaires positifs, on a le gentil couple qui tient son resto en mode in love. Ni très sexys ni très fashion victimes, ils incarnent bien le bonheur simple et familial. Yong Soo-cheol est pour sa part le pote serial lover et colocataire de Yoon Dong-ha. Un peu énervant au début, j’ai fini par le trouver sympathique.
Des collègues de boulot
L’histoire finit en mode Bisounours alors que les collègues de boulot de Ban Ji-yeon lui font vraiment un sale coup au début. Je ne peux pas imaginer que dans la vraie vie un groupe de hyènes janlouses se transforme en chatons duveteux, je suis trop veille pour croire à des conneries pareilles sur la nature humaine, mais comme j’aime les histoires positives, je ferme ma grande bouche sur ce coup-là. La fille amoureuse de Yoon Dong-ha ne sert à rien à part à secouer ses longs cheveux et à foutre son grain de poivre dans l’histoire. Et comme le scénario est archi-bisounours, elle trouve bien entendu son bonheur ailleurs. Je ne vois pas bien l’intérêt de caser tout le monde à la fin, mais bon, soit.
Un crève-cœur
Qu’est-ce que j’ai pu avoir mal pour Yoon Dong-ha ! Le pauvre garçon promène sa tristesse de manière poignante. Il est fair-play, ne veut pas conquérir celle qu’il aime sur des mensonges ou des malentendus, et son honnêteté est ce qui la lui fait perdre. Mais il est en paix avec sa conscience. Le voir malheureux m’a fendu le cœur. Alors même que je n’ai pas trouvé d’accroche particulière avec Ban Ji-yeon, je voulais tellement que lui soit heureux ! Et comme son bonheur à lui semblait passer par Ban Ji-yeon, il fallait absolument qu’ils finissent ensemble !
J’apprends le Coréen, oui mais comment? Les méthodes de langue Assimil sont connues depuis longtemps, et ont bonne réputation. J’avais déjà eu l’occasion d’en tester un peu une il y a fort longtemps, et pour autant que je me rappelle, cela m’avait bien convenu. C’est donc sans hésitation que je me suis tournée vers Assimil lorsque j’ai décidé d’apprendre le Coréen.
Des fichiers audio de qualité
La méthode intuitive pour apprendre le coréen, niveau débutant et faux débutants, est effectivement comme indiqué très intuitive.
Chaque chapitre commence par un texte qui est lu en version audio et que l’on peut répéter à l’envi. Pour ma part j’ai posé les fichiers dans mon téléphone, dans ma voiture et sur mon PC, ainsi j’y ai toujours accès tout en étant mobile, et je peux écouter et répéter à tout moment de la journée.
Le son est de très bonne qualité, avec plusieurs locuteurs pour varier les façons de parler.
Une approche intuitive
Le manuel J’apprends le coréen donne des indications sur la prononciation, et des notes pour la compréhension et la partie grammaticale.
Il y a ensuite des exercices de traduction, puis des phrases à compléter, et enfin quelques mots à écrire. Le tout bien sûr avec les corrigés.
On peut ainsi alterner entre le travail oral et l’écrit.
Chacun son rythme
J’avance tout doucement à mon rythme, et en cinq mois j’ai atteind la 25e leçon. Il est possible d’aller infiniment plus vite, mais il faut bien sûr travailler un peu plus que moi, et faire des efforts de mémorisation du vocabulaire. (Enfin, je dis ça, mais mon fils de 13 ans me met la honte sans peine sur sa vitesse d’apprentissage.) Je fais pour ma part bien attention à avoir tout compris et mémorisé avant de passer à la leçon suivante.
En plus
Un appendice grammatical, un lexique, des leçons de révisions intercalées
Mes suppléments
Je regarde en parallèle de nombreuses séries coréennes sous-titrées, et il m’arrive très souvent, à ma plus grande satisfaction, d’y entendre et reconnaître le vocabulaire que j’ai découvert dans la méthode Assimil ; ce sont vraiment des mots dont on se sert couramment qui sont utilisés pour illustrer les différentes leçons.
J’ai travaillé en même temps avec le cahier d’écriture Assimil pour me familiariser avec le Hangeul. Car bien que les textes soient romanisés, il est très important d’apprendre à lire et écrire la langue elle-même.
Un bilan positif
Au bout de 25 leçons avec J’apprends le coréen, mon bilan est très positif. Je suis en tous points satisfaite de cette méthode pour débuter avec le coréen et prends plaisir à apprendre.
Je trouve que l’avancée se fait pas à pas, sans douleur. Les leçons sont suffisamment courtes pour ne pas être fatigantes, et les difficultés augmentent petit à petit, sans qu’il y ait de grosse marche infranchissable.
Depuis tout petit, Park Bong-pal voit les fantômes. Il a même vu celui qui a tué sa mère. Maintenant il les chasse et les élimine. Or quand il tombe sur la jolie fantôme Kim Hyeon-ji, qui a perdu la mémoire, c’est elle qui s’accroche à lui et le poursuit partout pour qu’il l’aide. Un lien se noue petit à petit entre eux. Par ailleurs, deux gentils loosers, Choi Chun-sang et Kim In-rang, essayent de monter un business d’exorcisme et de recruter Park Bong-pal. Et le mal rôde autour de tous ces personnages…
Mes remarques, avec spoilers
Super moment de détente autour d’un mignon petit couple, de fantômes, et d’un méchant pour mettre de la tension.
La chasse aux fantômes
Pendant une bonne moitié de la saison, la chasse aux fantômes, présentée comme une mission, occupe agréablement chaque épisode avec un focus différent. Je préfère cette partie-là à celle qui vient ensuite, plus centrée sur la traque du méchant principal. D’ailleurs si les producteurs voulaient faire des saisons suivantes, avec une enquête par épisode, il y aurait de quoi avancer à l’infini. Moi je serais preneuse.
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Le mignon couple badass
Le duo en noir Park Bong-pal et Kim Hyeon-ji qui botte des fesses de fantômes en mode badass fonctionne super bien, on voudrait en voir plus. L’alchimie entre les deux héros se fait bien, leur petite histoire plutôt cohérente et mignonne. L’archi-classique partie « je te quitte pour ton bien » me gonfle comme toujours. En quoi ça pourrait être bien de faire souffrir quelqu’un en l’abandonnant alors qu’on l’aime aussi ? Les méandre de l’esprit humain sont trop tortueux pour moi.
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Le twist
Je me demandais comment les scénaristes allaient se sortir du problème de romance impossible entre un fantôme et un humain, eh bien ils ont fait ça avec classe, dans un retournement inattendu et intéressant quand la fantôme commence à disparaître. Le fait que Kim Hyeon-ji ne soit pas morte induit à la fois une solution et un nouveau problème avec les relations à la famille humaine.
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Les gentils loosers
Kang Ki-young, grand abonné des rôles supports farfelus dans les dramas, est ici l’aimable et parfois un peu pénible looser en chef Choi Chun-sang qui, accompagné de son acolyte Kim In-rang tient le club de chasse aux fantômes au nom gastronomique. Ils forment un bon duo comique, maladroits mais marrants et chaleureux ; on s’y attache, même si je ne voudrais pas les voir sonner à ma porte pour foutre en l’air ma journée.
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Le grave méchant
Joo Hye-seong représente vraiment le méchant dans l’âme, qui n’hésite devant aucune atrocité, d’ailleurs il tue de mignons petits animaux, c’est dire. Et ce qui fait de lui le méchant parfait, c’est sa façade propre, son masque de gendre immaculé.
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De la détente, de la romance, un peu de mystère, du fantastique, un bon mix dans ce drama.
Acteurs
Park Bong-pal : Ok Taec-yeon (Taecyeon) 옥택연 Kim Hyeon-ji : Kim So-hyun 김소현 Joo Hye-seong : Kwon Yul 권율 monk Myung-cheol : Kim Sang-ho 김상호 Choi Chun-sang : Kang Ki-young 강기영 Kim In-rang : Lee David 이다윗 Lee Se-in: Park Gyu-young 박규영
Cha Do-hyun, l’héritier d’un grand groupe, est affectée d’une TDI qui lui fait prendre 6 autres personnalités. Elle le rend violent quand il se transforme en Se-gi, ou fantasque en Perry Park. Pour le bien des affaires, sa famille et le public doivent ignorer sa maladie. Seul son secrétaire est dans la confidence. Cha Do-hyun tente de se faire soigner par des psys, et passe son temps à essayer d’afficher une image parfaite de lui, tout en réparant les dégâts causés par ses autres personnalités. Lorsque son alter ego violent croise Oh Ri-jin et en tombe amoureux, tout se complique, car cette personnalité tente alors de prendre le pouvoir sur les autres. De plus, le frère jumeau d’Oh Ri-jin, écrivain célèbre, enquête en secret sur Cha Do-hyun…
Mes remarques, avec spoilers
Énorme coup de cœur pour cette série ! J’ai matché dès le premier épisode, et j’ai été emportée jusqu’à la fin.
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Un acteur principal génialissime
Grosse admiration pour le talent d’acteur de Ji Sung, qui joue les multiples personnalités de Cha Do-hyun en passant en un regard du gentil Do-hyun à l’écorché Se-gi. Autant l’acteur sait envoyer des ondes de petit-ami parfait sous les trait de Cha Do-hyun, autant en tant que Se-gi, avec son regard charbonneux, on peut dire qu’il envoie du lourd. Je l’ai aussi adoré dans la peau de Yoo-na cette fille complètement délirante ; il est hilarant avec ses mimiques féminines.
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Un acteur secondaire à croquer
Park Seo-jun est trop mignon en frère protecteur un peu paumé dans ses sentiments. Il est tellement choupinou qu’il fait penser à un gros lapin angora qu’on aurait envie de serrer contre soi comme une peluche. OK, oui j’ai craqué sur son mode fluffy. Et j’adore ses interactions avec Yoo-na !
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Une enquête en fil rouge
L’enquête sur l’origine du traumatisme de Cha Do-hyun, qui a conduit à ses multiples personnalités, est un fil rouge qui tient en haleine et donne une variation intéressante à l’histoire, à côté de la romance. On aime !
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Acteurs
Cha Do-hyun : Ji Sung 지성 Oh Ri-jin : Hwang Jung-eun 황정음 Oh Ri-on : Park Seo-jun 박서준
La très sérieuse galeriste d’art Sung Deok-mi est aussi secrètement fangirl de l’idole kpop Shi-an. Elle anime sous pseudonyme un fanblog reconnu. Sa patronne est une sale prétentieuse qui abuse de sa position et exploite ses employés. Et son nouveau directeur Ryan Gold n’est pas quelqu’un qui rigole. Pourtant, lorsque Sung Deok-mi se retrouve par erreur dans un scandale et accusée à tort d’avoir une relation avec l’idole Shi-an, Ryan Gold lui propose de jouer son faux petit-ami pour faire taire les rumeurs. Cela aurait pu s’arrêter là sans la fille de la sale patronne, elle aussi blogueuse et fan absolue de Shi-an, qui entend bien creuser l’histoire.
Mes remarques, avec spoilers
Une jolie romance, avec en fond la question du harcèlement des fans, puis celle de l’adoption.
L’humour coréen
Même quand on a l’habitude de leur façon d’aborder le second degré (qui peut être très réussi comme dans Strong girl Bong-soon), les effets burlesques sont ici parfois un peu rudes, trop dans l’exagération. Je pense en particulier à la scène où la fille se voit en salle d’opération, pour moi complètement wtf. Mais pas de panique, à part des débuts un peu toomuch, le scénario se calme ensuite sur ce type d’effets.
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Le romantisme coréen
Mais qu’est-ce que j’adore le romantisme coréen ! Ils sont vraiment ultimes pour décrire la montée des sentiments à l’aide de toutes petites choses. Des détails, des moments simples et souvent fugaces. Comment deux visages qui se frôlent, avec simplement un nez qui approche un front, peuvent-ils être aussi sensuels ? Bwa, achevez-moi, c’est trop beau, je meurs devant l’écran.
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Fangirl ou sasaeng
La question de la fangirl qui joue au paparazzi passe en second plan assez rapidement. C’est un peu dommage, cela semblait être une part importante de l’intrigue, j’aurais aimé en avoir plus. Sung Deok-mi reste certes une fan assidue, mais on ne la voit pas trop sortir déguisée en ninja incognito. Le drama aborde la question des sasaeng, ces fans extrême, allant jusqu’à être en mode stalker et à menacer la vie des gens. Les flots de haine qui peuvent être déversés sur les réseaux sociaux et la prudence extrême dont doivent s’entourer les stars coréenne autour de leur image sont ici exposés mais pas explorés, cela reste un aimable drama familial.
| TvN – Her private life
La galerie d’art
C’est très sympa comme lieu de travail et trame de fond cette galerie d’art. Ça change de la multinationale ou du café, bien que la bonne copine n’ait pas évité celui-ci. On a affaire à des amoureux de l’art, et j’ai beaucoup aimé cette immersion dans le milieu, quasi en continu.
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L’adoption
Deux vies fort différentes dans des familles non biologiques, mais deux vies heureuses. Celle de Nam Eun-gi, élevé par la famille de Sung Deok-mi, doublé d’une relation un peu étrange avec sa mère biologique qui se comporte un peu comme une tante. Eun-gi ne cherche pas à fouiller son passé et ne veut pas poser de questions sur son père, il se satisfait de la famille qu’il a. Pour Ryan Gold, c’est bien différent. Adopté à l’étranger, il a aussi eu des parents aimants, mais son abandon dans un orphelinat est une plaie béante dans son cœur, au point de l’empêcher d’avancer dans sa vie. Cette question sert de pivot à l’intrigue.
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Les acteurs principaux
On les adore ! Park Min-young est comme toujours mignonne et attachante, Kim Jae-wook est très sexy en amoureux. La romance entre les deux est super jolie. Les prétendants secondaires n’ont jamais vraiment leur chance, ils servent juste à donner un peu de rythme.
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Acteurs
Sung Deok-mi : Park Min-young 박민영 Ryan Gold : Kim Jae-wook 김재욱 Nam Eun-gi : Ahn Bo-hyun 안보현 Cha Shi-an : Jung Jae-won (One) 정제원 Lee Seon-joo : Park Jin-joo 박진주
